Le long diapason I / The long tuning fork I

Au delà de leurs possibilités, sur ce champs de pouvoir étendu, encore, indiscernable dans la nuit, les héros, à peine, intronisés, à l'aube de ces batailles tels quelles, vide de la moelle, ni parfaite, ni imparfaite, à qui la fatalité de la guerre doit toute sa renommée, qui n'a cessé d'être croissante, à travers les temps, déjà, passée, et à venir, sont, alors, réunis humblement, dans ces temps désavoués, par lesquels les souvenirs d'une vie augmentée, loin des périples mortels, introduits, par des caprices perfides, par les dieux de la guerre, connaissaient, tout simplement, une percée jalousement gardée, dans leurs esprits reliés. Le cadre parfait de l'arène imitée, en tout point, par ces prévoyants, ces liseurs des scintillements des astres, et, ces devineresses, qui rejoue la chasse, la chaise et la chasteté des armes fécondant, avec le sang des barbares, les terres sableuses et gratifiantes, telle une tragicomédie que quiconque n'aurait pu inventé, si ce n'était guère vraie, était vierge de tout, dans ces tourments, dans ces campagnes, sous les yeux, livrant la vérité cruelle, des tourmentés, excepté l'ivresse du sang qui bouillonnait, à longueur de ces temps inquantifiables, au bout de ce long diapason. Alors, l'esprit général de cette ère guerrière, au dessus de toutes qualifications, y est fidèle, et, semble respecter les conditions imposés par les dieux de la guerre du temps, couplant le temps et l'ignorance, pour arriérer, sans fin, des peuples, et, ce morceau de dieux, le pourtant porteur de l'arme universalisée, par tous les dé-crieurs, ayant failli, aux ruptures du temps, et, aux punitions de la foudre, tels des éclairs fileuses et filamentaires pourvoient les ciels enténébrés.  

Alors qu'il jalouse ces lueurs sur-mortelles, comme si la fin d'un être n'était qu'un commencement pour d'autres, le désigné, fort et courageux, téméraire et libre, par les astres mirobolantes, chers à son cœur, le foudroyé, dans les tubulures de ces jonquées, où, sillonne de la vie, et, de la mort, sa mort certainement, est le courage personnifié, quand se révolte, au lien fiduciaire perçu, la foudre, jusqu'à terminer son chemin, qu'il ne peut guère tracer, seul, jamais il l'autoriserait à faire de la sorte, là près des mandragores. et, des œillets dragons. Et, puis, il, lui, en pourvoie d'un pouvoir jamais inégalé, dans l'univers, se disqualifie, en prenant ce galon de dieu.    

Strax, le brute de décoffrage : L'amour d'une terre, d'une patrie, et, père de tout, est tout pour moi. La résidence de cœur des gobelins est, là, retutoyant les ciels des dieux, tourmentés, parfois. Mais, un sablée friable comme le palet des orques, consisterait en quoi ?  Le coup divin retranscripté par les galériens, se roulant dans les cycloniques tourments, signe ce temps. Serait-il en faveur de ces ordres secrets ?

Beyond the possibilities, on this yet undescribable in the night, stretched field of power, the reunificated heros, barely introduced, at the dawn of the battles, such as, voided of the substance of life, not perfect, not imperfect, at which the fatality of the war owes all his recognition, that has not ceased to grow, across the times, already past, and, incoming, are, then, gathered, in humble way, in these desavowed times, by which the souvenirs of a creasing life, far away from mortal dangers, introduced, by perfidious caprices, by the gods of the war, acknowledged, all simply, a breakthough, with jealousy, kept, in their bounded spirits. The perfect crepancy of the imitated arena, in all point, by these soothsayers, these readers of the star's sparklings, and, these divinatory spellers, that replay the hunt, the sieging, and the chastity of the weapons, fecundating, with the blood of barbarians, the sand and rewarding lands, such as tragicomedy that anyone could not have invented, if it was not true, was virgin of alln in these torments, in these campaigns, under the eyes, surrending the cruel truth, of the tormented ones, excepted the unsoberness of the blood, that boiled, at the lengthness of these uncountable times, at the end of this long tuning fork. Henceforth, the general spirit of this warmongering era, above all qualifications, begets faithful, and seems to respect the conditions imposed by the fods of the wartimes, coupling the time and the ignorance, for bashing endlessly people, and, more, this morsel of god, the nevertheless bearer of the weapon universalised, by all the outcried ones, having failed, to the breakings of the times, and, the punishments of the thunder, such as threading and filamentous lightnings are postulating for acquiring the dark skies. 

Whilst he is jealousing these out-mortal gleams, as if the end of a being was just a beginning for others, the designated, strong and courageous, brave and free, by the shimmering body celestials, dearest to his heart, the thundered one, in the wiggings of the flower paths, where, the life pasts out, the death is present such as his certain death, is the personnified couage, when the thunder is revolting, at the perceived link, till ending his path, that he cannot trace, alone, never he will authorize to do it, there close to the mandragoras and the dragon bright eye. And, then, he, him, in acquaintance of a power never ever unequalled, in the universe, is disqualifying himself, in taking this step of god. 

Strax : The love of a land, a foster lands, and, father of all, is all for me. The residance of heart of the goblins is there, by touching the skies of gods, tormented, sometimes. But, a squeezable biscuit as the galet of the orcs, consist in what ? The divine blast retranscripted by the galleyed ones, rolling on to the cyclonic torments, is signing the time. Would it be in favour of these secret orders ?

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