Le long diapason II / The long tuning fork II

A longueur de temps, dans ces citernes souterraines, le talent des mains du talentueux gobelin, dont l'inexpressivité du visage, au combat serré, rappelle celle des plus grands guerriers, habités par le temps, avait potentiellement décelé, à travers l'uniportation éclair, la faille recréable à l'infini, sous laquelle les atrocités du temps étaient, par une exquise émulsion de la guerre, dans la guerre, complétement jouissives et orgasmée, de la part des guerriers de la guerre, caché, dans les recoins de l'univers, et, dans les temps oubliés. Malgré la panade, le fin stratagème, et le schéma tactique des dieux de la guerre, à peine, se réalisait tout autour de l'arène, qui s'alliait au temps, le gobelin évertué à exécuter de grandes choses encore, pour lui, indéfinissable, et, ses patelinés-là, dans la rotonde de gobe, à la coupole argentée, et mystérieuse pour y caresser étrangement les flots du temps, piégés, quelque fois, dans les internuages bumants, marchant du tonnerre de dieu, partout, où, ils forainent, par conséquent, qui sont que des profiteurs, aux yeux persécuteurs des lancéoleurs, de cette toujours impourchassable horde, collectivisent, jusqu'à faire la collecte de sacrés bonnes notes du temps, que les orienteurs de lumière lisant, bond par bond, les reliefs nuageux et ciselés, en dé-lecture provisoire des prédictions astrales, comme la force changeait de camp, ferme la bouche, ont eu le temps de cogiter, jusqu'à monter à l'assaut du temps, suivant les courants magnétiques. C'est alors qu'aux répudiations des dragons monstrueux, encerceautant, tels des serpents s'enroulant tout autour des portails, le sillon de la bravoure simule un combat céleste, que le gobelin en-saumuré doit livrer pour se libérer de cette imposture, puis, remporter, coûte que coûte, vivant au jour le jour, au report de sa mort certaine. à moins que l’enchanteresse veille sur lui. Les yeux lançant des flèches, se lançant sur les paratonnerres structurés en une défense impassable, aux joules extrêmement puissantes, interreliés, sous terre, les archers enluminent les bords embâtonnetés de ces fossés, où, les lumières plurielles se singularisent, soudainement, dans ces coups foireux, avec les ombres, jusqu'à y faire détacher de leur troupe et de leur troupeau, des élus répressifs et insolents, dans leurs manière de manier la force, se confronteront à la grâce divine.   

Pendant que le fer forgé, réputé, incassable, endecanasse le temps, lié, d'une manière extraordinaire, les camps de destructeurs, pour que la maîtrise du temps, à peine, lassoté, d'une corde torsadé par d'immenses monstres, immondants, ne soit qu'illusion, ne cède un iota. C'est alors que Strax pressentant, dans son for intérieur, s'extériorisant tel un halo de vérité, lors d'un transfuge mystérieux, en décalé, vers Ylo, se matérialisant par l'apparition filmique de ce dragon bipèdique et prête, que le dragon mythique, dans ce sous-monde, se défossilisant, jusqu'à foutu-ment remuer la terre et, puis, le ciel, brise, à l'aide de la puissance déchargée par cette envergée porteur d'éléments combinatoires, jusqu'à user de cette force centripète, pour faire épanouir son pouvoir, la ferronne, et, les en-diapasonnés, venus de l'est, faisant un mois de moisson de tête, tel un mois divin, particulièrement, riche en rebondissements, démonent, en volant, par ailleurs, une gerbe d'éclaboussure d'éclair, et, en démontant toute structure épouvantaillant, ces reliefs sauvages. 

At length of the times, in these undergounds citerns, the talent of the hands of the goblin, of which the unexpression, at serried fight, reminds the greatest warriors, inhabitated by the times, had potentially detected, through the lightning uniportation, the recreating at the infinity the splint, under which the atrocities of the times were, by an exquisite emulsion of the war, in the war, completely refuelling, and, organismical, from the warmongers, hidden, in the corners of the universe, and, in the forgiven times. In spite of the mess, the end of stratagem, and, the tactic scheme of the gods of the war, so barely, realized all around the arena allies to the times, the goblin endorsing to execute big things, yet, for him, definable, and, is domiciliated there, in the gobe of spit, with the silvered rand mysterious roof, for oddly caressing the waves of times, entrapped sometimes, in the fleecy interclouds, working as miracle, everwhere, where, they are showing slightly lights, by consequent, that are seen such as only ones that take advantage of the situation, to the persecuting eyes of the throwers, of this always unhoundable horde, are collectivising, till harvesting secred good notes du temps, that the orienters of the light, reading, jump by jump, the cloudy and chiseled reliefs, in temporary dislecture of the astral prediction, as if the force changed camp, is enclosing the loop, had the time of backing out, till riding the time, following the magnetic curves. It is that at the repudiations of the monstrous dragons, encercling, such as serpents engripping the portals, the path of the bravery is simulating a celestial combat, that the salty goblin, must take up for liberating himself of this imposture, then, take the win, whatever it takes, living day after day,  at the report of his certain death.  unless that the embracing one veils on him. The daggers' eyes, launching upon the thunderbolting arks, structured in to an unbearable defence, with jolts extremely powerful, interconnected, beneath, the archeries are illuminating the masted edges of these furrows, where, the plurial lights are suddenly singularizing in these mishapping coups, with the shadows, till being separated off their herd and, their troop, repressive and insolent in their manners of manipulating the force, chosen ones, will be confronted to the divine grace.   

Whereas the forged iron, renowned, unbreakable, are locking up the time, linked, in a extraordinary way, the camps of destroyers, for that the control of the time, so barely, drawned, by a rope twisted by immenses monsters, is just an illusion, is not breaking, a bit. It is then that Strax foreboding, in his deep innerside, being externalised such as a halo of truth, during a mysterious transporation, in delayment, towards Ylo, in materializing, by the appearance of this dragon walking on two feet and priest, that the mythical dragon, in this undersided world, till shaking the earth, then, the sky, is breaking off, with the help of the puissance loaded in this sticked carrier of combinating elements, till having used of this amazing force of twist, for blosomming his power, the iron sky, and, the tuning fork ones, came from the east, doing a month of head harvesting, such as a divine month, particularly, full of jumpings, are demonishing, in stealing a bit of a thunderbolt, and, in dismantling all structure scarcecrowing, these wild lands.

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