L'armure d'air VI / The water armour VI

Au-dessus de sa tête, le monde vielleux s'écroule. Les fadaises de ce monde vielleux, issu de la pire collapsologie, annonciatrices des réalisations apocalyptiques d'un monde quasiment irrelevable, ne le sont plus, lorsque des chavirements cielleux, s'écrasant sur des mondes, totalement ratatinés, pétris dans de la soupe créaturesque active, liée à une dé-création imminente, composant les substrats souterrains, font un tonnerre de bruit. Alors qu'à peine quelques temps, le cours normal du monde, à moitié inerte, avait repris, les bras lui en tombent, quand la série de chaos s'abat sur ce bas monde. Dans les instants lancés, au galop du temps perdu, qui immisce, d'emblée, un mal pour les immergés, en immersion dans ces espaces confinés, la survie des peuples est en jeu. Dans le pas des divins, les élus porteurs des flambeaux de l'espoir, qui décrètent implicitement que le jour est venu de faire siège du temps, jouant, en leur défaveur, momentarisent ces moments de joie, de peur, de sang, et, de renouveau, tout en sollicitant, avec l'espoir chevillé au corps, les autants. L'espoir emeraudé, Ylo, trouvant des affinités dans cette étrillée constellation de combattants dissonants, gobeletant l'ingobable et pourtant incapsulable temps, face à une gigantesque marée démoniaque, totalement déchaînée, suivent, à ce pas de guerre, qui peut être fatal pour l'ordre des élus, cette anti-trainée, fulminairement lancé, cette fois-ci, pour les pêcher. Les fautes des siens, pardonnées, dans un ciel de pardons, sont rachetées, lorsque le temps de l'espoir, dur à croire pourtant, a sonné le retour des élus. Etronné dans ces capharnaüms, Ylo fait, en dernier, face aux supradémons, psychopompeurs, à la grande suprématie, dont les structures cartilagineuses s'élongeant, au vent pompeux, forment des toiles élytreuses, capable d'avoir la main, dans ce jeu mortel, avant de ruiner tout espoir d'évasion.

Hélas, les élus ont la peine du monde d'enfanter des lendemains sereins, ne se ripant guère de la violence de ces âges sombres. Les freluquets et autres paltoquets de ces peuples massis, et, non reliés aux émotions de la terre, en crise, remettant, dans des circonvolutions stellogéniques, en cause leurs existences, jusqu'à renioter leur passage sur ces espaces stellaires, qui noient leurs chagrins, dans ces souvenirs insensitifs et reviviscents, de créatures parcheminantes, et, aux insouvenances tragiques, lorsque viennent les satyres de l'apocalypse, ne sont qu'à enfermer, tentant, illusoirement, et, dérisoirement, de dénoyauter le noyau du temps. Soudain, sur-grandi de ce superradiant bouclier magnétique, Métal, le à devenir bouclier du temps, et, accessoirement, le pygmalion d'Ylo, qui lui donne cette aura invincible, jusqu'à, selon les présages les plus humbles, et les plus honnêtes, le capacité d'atmosphériser un ciel d'homme, gantelète, enfin, le temps, lorsque Ylo a le diable à ses trousses.    

Above his head, the old world is collapsing. The wizenednesses of this world, issuing from the worst collapsology, auguring apocalyptical realizations of an not liftable world, are not anymore, whilst skyarking sinkings, crushing on the worlds, totally wizened, droughted in the active soup of creatures, linked to a impending decreation, compounding the underground substrats, are producing a thunderclap of noise. While, barely few times, the normal resuming of the world, half in the inertia, had been resumed, the arms are falling down from him, while the series of chaos is striking down this downworld. In the launched moments, making up for lost time, that is reminding, first of all, an evilness for the immersed ones, in immersion in these confined spaces, the survival of the people is at stake. In the footsteps of the deities, the chosen ones carrying the torches of the hope, that are enstating that the day has come for sieging the times, playing, in their disafvour, are momentarizing these moments of joy, of fear, of blood, and, of renew, all in sollicitating, with the hope anchored to their body, the elements. The living hope, evergreening, Ylo, finding affinities with this unspared constellation of dissonant combattants, gobing the uncapsulable time, facing a gigantic demoniacal wave, totally going off rampage, are following, at this warfoot, that can be fatal for the order of the chosen ones, this anti-stringlet, triggered, this times, for trolling them. The faults of the siblings, forgiven, in the sky of forgivenesses, are rebought, while the times of the hope, hard to believe, indeed, has rung the return of the chosen ones. Weltered grossingly in these sinkholes, Ylo, is facing, in last, facing the psychopumping suprademons, with the great supremacy, of which the cartiliginous structures, elongating themselves, at the pumping winds, are forming wind veils, capable of having the upperhand, in this deadly game, before ruining all hope of escapingness.

Alas, the chosen ones have the pain of the world of birthing the serene tomorrows, in not being ripped, by the violence of these dark ages. The few of these gathered and not linked to the emotions of the earth, in crisis, doubting, in stellogenical convolutions, of their existence, till denying their passages on these stellar spaces, people, that are drowning their pains, in this insensitive and reviviscent souvenir, of creatures, with tragical unrememberings, while come the satyres of the apocalypse, are just to be closed in, attempting, illusorily, of taking back this core of the time. Sudden, overgrown of this superradiant magnetic shield, metal, the shield of the time, and, accesorily, the pygmalion of Ylo, in the making, who gives him this aura of invincible, till, according to the humblest and honest omens, the power of atmospherizing a sky of men, is, in fine, gaunteling the time, while Ylo has the devil coming to him.

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