L'armure d'air VII / The water armour VII

Tout ce temps, où, le pygmalionisme, en comparé au protectorat divin des peuples, à la figure tutélaire immensément reconnaissable des serments d'allégeance, avait fait un bon bout de chemin, dans l'aminus des compagnons du dieu suprême, jusqu'à faire trot et troc, avec sassement et ressassement, dans leur tête. Alors que, dans l'enfer des combattants, où, le feu étage les marches de l'enfer, les dieux mineurs, aux tons graves, mais, graciateurs, et, les déesses mijorées, aux voix de crécerelle, qui n'adoptent guère l'animalité des combattants, sillonnent la fosse des condamnés, l'idée d'un paradis terrestre, pouvant renaître, trotte, dans la tête d'un élu inspiré, qu'affilient, au plus grand dieu tout-puissant, les oracles. Malheureusement, l'enceinte de l'arène, bourrée de secrets divins, échiale les grands pachas, bougeant encore, à souhait. Dans le secret des dieux, l'un des déités, sans pareil, bonté de cœur et d'esprit, sort les fers du feu. Alors que les paniquements émotifs des voulants qu’exister, au motif d'avoir été mis sous la confidence, collisionnent avec les émotions nuageant les pourtours de l'arène, les aigreurs des dieux sont des terres d'accueil, pour les envirulés et les plaies. Tout à sa commande, le temps libéré les laisse vagueler, au gré des affrontements exterminatoires, jusqu'à faire dé-exister des peuples entiers. Mais, soudain, la surprise, qui témoigne de sa candeur, et, sa naïveté, alourdit les nuages orageants. Pointoyant, dans la brume de ses pensées, ce gobeleté temps, essentiel au maintien de sa vie et la vie d'un peuple, jusqu'à être, par autre facétie des dieux, engobeliné, lui-même, il nobscurite, soudain. A la franchise des obstacles du temps, qui vient rendre hommage au plus valeureux élus, qui prologuaient cette amorce de la fin des batailles, en lien avec la rendue des armes des glaneurs, des clamoyants, et, autres gladiatants-là, sur les lieux de sacrifice de peuple, tout n'est que l’habit du secret.

Depuis les imitations de l'arène, où, les méduséens, médusant la foule de leur immortalité, et, plus spécialement, leur fausses semblances de contrôler le temps, jusqu'à développer, parmi leurs médicinés, des psychologies inversées, totalement déroutantes, jusqu'à fouiller les temps, pour acquérir, comme tout peuple, ce pouvoir horoscopique, les élus, reprenant du poil de la bête, et, conjoignant les temps associés aux pygmalionistes Métal et Ylo, malgré qu'ils soient relégués au second plan de cette guerre, universelle, ayant dispensés la foi de la religion des armes libellées, éspécient leurs attaques dé-ionisantes, jusqu'à dévier, par des nuages d'extinctement de colères, les foudres indélâchables de ces courroux, devant cette montagnette de dettes, envers quelques divins, non guère insurmontables.          

All this time, when, the pygmalionism, compared to the divine protectorat of the people, with the tutelar face immensively recognizable of the serments of allegiance, had done a run, in the psychology of the companions of the supreme god, till being rehearsed, with sagginess, in their head. While, in the hell of the combattants, where, the fire is staggering the steps of the hell, the minor gods with grievous tones but, sparingful speeches, and, the lowered down goddesses, with timid voices, are not adopting the animality of the combattants, are furrowing the sinkholes of the combattants, the idea of a terrestrial paradise, that can reborn, is coming from the head of an inspired chosen one, that the oracle affiliate, to the greatest of the almightiness. Unfortunately, the surround of the arena, full of divine secrets, is making mourn the greatest workshippers, moving again, at will. In the secret of the gods, one of the deities, without equal, goodness of heart and of spirit, is extirpating the irons form the fire. While the emotionnal panickings of the wishing of existing, by the simple rule of having been trusted, are collisionning with the emotions clouding the vicinities of the arena, the sorenesses of the gods are lands of welcoming for the the plagues. All at his command, the liberated time is letting them wave, as the exterminatory confrontations come, till making not existing whole people. But, sudden, the surprise, that witnesses of his candour,, is heaving the stormy clouds. Pointing, again and again, in the fog of his thoughts, this nud of time, essential for the maintaining of the life of his life and the life of a people, till being, by other factiousness of the gods, goblined, himself, he is, sudden, coupling with, At the overlapping of the obstacles of the times comes to give honour back to the proud chosen ones, that have prologued this beginning of the end of the battles, in link with the cessation of the weapons of the glaring ones, and other gladiators, on the places of the sacrifice of the people, everything is just the wearingness of the secret.  

Since the imitations of the arena, where, the meduseans, astounishing the crowd of their immortality, and, more especially, their false semblances of controlling up the times, till developping, amongst their healed ones, reversal psychologies, totally disrupting, till seeking through times, in order to obtain, as all people, this horoscopical power, the chosens ones joining the times associated to the pygamlionist, Metal and Ylo, despite the fact tht they are releagued to the second plan of the universal  war, having repaired the fate of the religion of the weapons, are specializing their attacks calming up, till deviating, by clouds of extinction of angers, the thunders of the wrathfulnesses, facing the moutain of debts, towards few divins, not yet insurmountable.   

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