Les yeux cosmiques III / The cosmic eyes III

Bien qu'irréductible draconien, aux grands principes, l'enrûteur dragon souterrain, Gond, et ces fatigués rapaces élimés de leurs griffes crochues, mis en conflit délibéré avec ces autres spires, dans cette spirale infernale, qui obéissent, de manière furidarde, au doigt et l’œil de ce dieu de la destruction, conduit, de froide pensée, cette invasion orpheline, vers cette gorge accomplice et, en partie, anginée, dans laquelle déphosphoraient les ambifiés, jusqu'à perdre leur couleurs, leurs âmes, tout comme ces hordes maléfiques de démons sourds. Tandis que l'illusionniste, Ino-woo, toujours coi, dulcinifie, jusqu'à re-caresser le rêve d'être, à nouveau, avec sa dulcinée, ce peigne viel d'une histoire ancestrale, n'ayant guère pris une seule ride, qui peignait fantasmément, la chevelure du temps, recellise toujours, plus de magies portales, dont les dragons embraseurs adviennent à faire mourir la magie, en opposition à leur grandeur, comme l'amener vaguement, à bord de ce rêve fantaisiste, bordurant des voyages du temps, dont son amour nait incommensurable, est in-jaloux de ces revers de combat, dans lesquels, empêtré, Gond jase, de manière déconcertante, dans ces constitutions de parements, contusionnés de toutes parts, où, affouillent des démons ventripotents, avant la terrifiée, depuis si longtemps, affrontement. Par tous les démons, Gond, faisant, un temps, cavalier seul, mais, toujours, étant l'ensuiveur engendré  rattaché, malgré les turpitudes et les égarements de la foi, à ce fil de la destinée des peuples, éclairoyée par des mages illumineux, et, altruistes, n'avait onglé, en dépitance des arrières-gorges caviteuses aux cavités souterraines piègeuses, déjouant ses pas, de tel, solidement ancré dans la mort, et, cuticulant trépas, dont les moindres confronteux rapprochements peuvent sonner la fin, d'une armée cataphractaire, de haute imposition. Il est, alors, dans cette tenaille dans laquelle il redoutait, le guérisseur-régénérateur, en devenir. Dans ce soleil de solennité, dans lequel il se solennise, en embrasant son destin de guérisseur, Gond, avenge évulse ceux qui mène, avec un dessein imbéni, quelques extrusions, jusqu'à faire clamoyer cette voix intérieure, veillant toujours sur lui.

Parangon : La larme de la créature de feu, piègera la lumière, qui restituera sa bonté, qui donnera lieu au plus grand des miracles. Au dérafinement de ces temps maudits, il noie son chagrin. Mais, la guerre l'aspire, jusqu'à inspirailler ce morceau de bravoure. La double sabre exsangueur de Long géméllisera la victoire ces deux porteurs de l'espoir draconien.  

Pendant que Gond affronte, de bon pied, sa destinée, il y a, dans les affouillements, à tâtons, dans lesquels le noyau caudé doit forcément s'y trouvé, où, les démons blafardisant, et, invachisés, avec un dessein de faire du mal, une odeur soufrée, rappelant que le monde est dans  un état stasique, irréversible, comme parisitairement cérébralisé par un parasite contrôleur des noeuds neuronaux, se produit, par un miraculeux produit de la vie, une senéscence partielle, lorsque des démons phosphorent. Alors que les combats font rage, jusqu'à acculer les organes de combattants vitaux à la survie, le sauveur draconien, Gond, encore, olivâtre, se rustrisant, et, suivant ce chemin de croix, jusqu'à se recentriser sur la seule vérité cosmique, qui bénit ce réalignement des chakras, apporte au mal une guérison.

Loin de leurs yeux ennimblés de faux espoirs, les miraculés regagnant subitement la vue, sans vue de l'avenir, depuis si longtemps, jusqu'à pratiquer ces rites pressothérapiques, en abandonnant presque leurs forces spirituelles, qui meurent, dans ces batailles, les dépassant, redeviennent les maîtres de leurs mouvements quasi parapleptysés, sous l’œil confiant de Parangon.    

Although irreductible draconian, with great principles, the undersided dragon, Gond, and, these fatigued rapacious ones, deprived of their rustling claws, in deliberated ocnflict with these others spires, in this infernal spiral, that obey, in furious way, to the finger and the eye of this god of destruction, is conducting, with cold thought, this orphaned invasion, towards this accomplice gorge, in part, white, in which the ambified were dephosphorating, till losing their colours, their souls such as  these malefic hordes of deafening demons. Whereas the illusionnist, Ino-woo, always silent, is loving as a person, till recaressing the dream of being, again, with his dulcinated one, this brush old of an ancestral story, in not having a single wrinkle, that brushed, with fancy, the nuds of the times, is always recealing, more and more portal magics, of which the ablazing dragons adcome to make the magic, in opposition to their greatness, faint, as leading him vaguely, on board of this fabulous dream, boarding voyages of the times, of which his love borns immesureable, is unjaleous of these reverses of combat, in which, bogged down, Gond, is not chuckling at all, in a crestfallen way, in these constitutions of wallings, contused everywhere, where, potbellied demons thud, before the terrified, for a while, confrontation. By all the demons, Gond, in knighting, one single time, alone, but, always, hoperaiser follower, clinged, in spite the turpitudes and the misravellings of the faith to this thread of the destiny of the people, lighted up by the illusionist and altruist maguses, had not been nested, despite the fact that the arriere gorges, full of asiding trapping cavities, were unplaying his game of revengefulnesses, in a such solidely anchored in the death, and, cuticulating soul-searchingnesses, of which the confrontuous closed combats, can ring the end, of a cataphractory army, of high imposition. He is then in this narrowingness in which he feared, the healer, in the healer-regenerator, in the making. In this sun of solemnity, in which he is solemnized, in embracing his destiny fo healer, Gond, avengeful, is evulsing the ones, that lead, with a unblessed plan, some extrusions. till making ticking this speaking forth voice.

Paragon : The tear of the fire creature will entrap the light, that will restitute its goodwill, that will yield the field of the greatest miracle. At the derailment of these accursed times, he drowns his sadness. But, the war is swallowing it, till inspiring this morsel of bravery. The double blade bleeding saber of Long will gemelizing the victory of these both carrier of the draconian hope. 

Whereas Gond is confronting, in a goodwill of victoring, his fate, there is, in the timid excavations, in which the core must be hidden, where, the pallid demons, with a plan of doing badness, a sulphured odor, reminding that the world is in a eversal stasical state, as if a parasite did control the neuronal knots, is happening, by a miraculous product of life, a partial senescence, while demons are phosphoring.  Whereas the combats are raging, till obnubilating the organs of the combattants vital for the survival, the  draconian savior, Gond, yet, evergreened, being mangled, and, following this path of crosses, till  recentering on the only cosmic truth, who bless this realignment of the chakras, is bringing to the evil the healing.

Far from their eyes nimbled of false hopes, the miraculated ones, rewinning suddenly the sight, without sight upon the future, for a while ago, till practising these pressotherapical rites, in almost abandoning their spiritual forces, that die, in these battles, going beyond their understandings, are rebecoming  the masters of their quasi numbed movements, under the confident eye of Paragon. 

Les textes et les images ne sont pas libres de droit. Merci de contacter l'auteur. The texts and images are not free of right. Please contact the author.