Les yeux cosmiques IV / The cosmic eyes IV

Alors que les palpations des mains souffreteuses, lourdes de souvenirs, après avoir, en menant, avec pressaillement, cette ode à la vie, durant le chant duquel la réincarnation du pouvoir spirituel est ressenti au toucher, porté les cadavres du cadastre, et, des fosses communales, de ces ritualisants, allouant tous leurs biens à l'élévation spirituelle, jusqu'à identifier leur mantra, et, les points nodaux de transcendance spirituelle, ouvrant les portes aux malices et, rarement, à la sagesse, se reconnectent à la nature, toujours juste, dans ses offrandes, les esprits voguants, défendent bec et ongles, ceux qui s'aventurent au de-là des sentiers battus. Dans la veillée funèbre, au cours de laquelle les pressothérapeutes, et les thalassothérapeutes, de ces hydrothermes, et, de ces bassins thermaux, riches d'eau guérisseuse, inventoriant cet arsenal de guerre, portée au loin, jusqu'à que le verseau arme les mains calleuses, et, raidifiées pour des causes mystérieuses, d'eau afin redonner le salut à ces combattants pieux, en proie aux flammes reprennaillantes, aux reprises nombreuses, dans les forêts vierges de ces pinglés, jusqu'à que la casernée et parementaire place contre les feux ignescents, moirent, avec des éponges spongieuses, mouillotées afin que la résorption et la réabsorption de tous les maux, et, de ces symptômes démoniaques, présents dans les fronts, fassent tout disparaître, ces bouches asséchées, et, demi ouvertes, comme leur donnant, en dernier râle défieur de bonté infinie, les stigmates, similaire au mal, qui frappe dans les pourtours des bouches de l'enfer, les guérisseurs de l'aseptisation apprivoisent rédemptoirement ces maux, jusqu'à en dire le plus grand mal. Voilà, ce qu'ils font, ainsi, l'admonestation, par des paroles diables, assortis aux pires paroles des diables, enfin rencontrés, dans un ridiculum rite.    

L'un des guérisseurs, disant le diable : Le feu de l'enfer sortirait presque de sa bouche, en flamme. Le salueur sur-blotti à sa croix, délimiteuse de sa toute petite terre de la foi, piètre à vouloir continuer l'office.

Le verseau : L'ineptie, en cours, inapte ceux dont la vie tient qu'à un fil. L'eau porte la vie. Ce fil de la vie, au fil de l'eau, se fortifie...

L'un des pêcheurs : Dès que une larme accoigne le coin de l’œil, tout justifirait, pour ces barbares, l'usage de l'arme, de la violence. 

L'une des nymphes ambassifiées : Les termes guerriers doivent avoir un emploi juste, pour que les secrets soient tournescier. Tel, ainsi, au contact du métal, tournesciant en deux, toute matière solide. 

Crocus : La part du verseau est faite, mais, les insénescencés disent le contraire.

Le verseau : Le temps est la clef à toutes nos réponses. Magé, l'image du fils sera in-noyé, dans cet océan d'obscurité. Les armes réméditives de la guerre, le mal des mains, comme si le port d'une arme sainte y est prohibé, que le diable a à riveter, n'attendent que vous.

While the palpations of the suffering hands, heavy of memories, after having carried, in leading pressingly this ode of the life, during which the chant of which the reembodying of the spiritual power is felt at the touch, the corpses of the communal sentines, of these ones ritualizing allocating all their goods to the elevation, till acknowledging their mantra, and, the nodal points of the spiritual transcendance, opening to the door to the maliciousness and, rarely to the wisdom, are reconnecting to the nature, always just, in his givings, the voguing spirits, are defending whether it takes, the ones that adventure beyond the beaten sentrys. In the veiling of the dead, during which the pressotherapists of these hydrotherms, and, these thermal pools; enriched of healing water, inventorying this arsenal of the war, farred away, till that the water bearer weaponize the callous and strengthened for mysterious causes, hands of water in order to regive the salute to these religious combattants, in prey of flames tabing back, with numerous restartingnesses, in the forest virgin of these spangled ones, till that the warding off against the ignescent fires casern, are weltering, with a sponge, watered in order to reabsorbing all the evilnesses, present in the foreheads, is making all disappear, these dryed out and half opened mouths, as giving them, in last defying coughing, the stigmatas, similar to the evil,that strikes the vicinities of the hellmouths, the healers of the aseptisation are taming, such as a sacred redemption, these evilnesses till designating the bad evil. Here they are, what they do the admonestation by bedevilled speeches, assorted to the worst speeches of the devils, finally, met, in a ridiculum rite.

One of the healers, saying instead of the devil : The hellfire would come almost out from his mouth, in flame. The salutating one, overclosed to his cross, delimitating of his all teeny tiny land of the faith,  is lewding for wanting to resume the office.

The water bearer : The ineptia, in progres, is inapting the ones, of which the life holds with a string. The water carries the life. This thread of the life, as the water runs through, is strengthening...     

One of the sinners : While the teardrop is at the corner of the eye, everything would justify, for these barbares, the use of the violence. 

One of the ambassified nymphs : The warmongering terms must have a just employ, for that the secret are sawed. Such as, in the contact of the metal, sawing in tearing asunder way, all solid matter.

Crocus : The part of the water bearer is done, but, the insenescenced are telling the contrary.  

The water beearer : The time is the key of all our responses. Magused, the image of the son will be not drowned, in this ocean of darkness. The remeditive weapons of the war, the symptoms of the hand, as if the bearing of a holy weapon is been prohibited, that the devil has to anchored, wait for you.

Les textes et les images ne sont pas libres de droit. Merci de contacter l'auteur. The texts and images are not free of right. Please contact the author.