Eolipyle VI / Eolipyle VI

La résonance de la mort grappillant chaque parcelle de son corps, qui l'exhorte de continuer davantage à creuser son tombeau, commence à lui remémorer, de maintes folies psychédéliques, de visionner l'image horrifique, qu'il se fait du mal, qu'il convoquera. Quelque part, aux encablures, les invocateurs, les férus, les retords, et, les associés au mal, qui sont complètement bouche bée, excentrisent, de telle manière que l'ornement, où, l'âme de l'expiateur soit, enfin, expiée, est violé par les reluquements des scrutateurs, se mettent en branle, pour interactiviser avec le monde prodigué à la résurrection. Alors que, soudain, la chose terrible advient, les supplémentateurs, prolixés d'ordinaire, se mue, dans cette langue des morts, jusqu'à communier, et, communiquer d'entre les morts, tels les morts paracomuniquaient, à travers les énergies, et, leurs chaleurs, jusqu'à que leur lumière porte, sur le monde d'entrepassage. Les moments verboses sont pêchés par les guerriers trollesques, et, froliquets, un tantinet, meilleurs dans ces choses mêlant l'au-delà. La thanatomie de ces éviées, dans cet entonnoir de la mort, est, à bien des égards, agaçante, pour ces releveurs, qui maintiennent, dans un semblant d'équilibre, la vie. Alors que tout porte à croire qu'ils sont, tous, morts, l'un des guerriers trollesques, un peu blettes, dans ces chicanes labyrinthisées en obstacles, qui refusait, tout comme cette guilde compagnonnesque , le sceau de l'infamie, à qui les dépêchés mijots, dessus à étude, étaient, tous, déblettisant les fruits rancis, ramenant l'ancien temps, est le parfait extrait d'une suite bataillonnesque, sans précédent, jusqu'à les entr'apercevoir  pourrir, en enfer. De prime abord, à sa bonde sauteuse, la mort coriacée, est empêchée par un pied ferme, et l'autre renâclant, jusqu'à reclamer, en retour de ses services apathiques, la vie surrective, qui ressert ironiquement la guerre infinie, dans ces hauts-lieux. Le guerrier trollesque laineux, aux infinités grotesques et brutales, qui était, dans ces miellats collants régurgités par des dionées tumoralisantes, se forgeait un pied dans l'enfer.

Alors qu'il a dans sa botte, des créatures fanalisantes, et, fantastiques, l'équinoxe, qui rapproche les astres, comme un parfait entremetteur,  jusqu'à patrier, de façon noblissime, le territoire restant de cette humanité, aux réalités distordues, est, aux rognures du temps, le prolifisé metteur en scène de cette vie espécique et spécifique. A l'asymétrie des portails irréfragables, les enfragés guerriers trollesques, biscornues, faisandiers, et, dystopiens, quelque part, comme mis sur le chemin des troncs, habitaillés par des minuscules créatures, qui faisandaient paranormalistiquement, sont les créatures de la mort. Mis au chevet des au-boutistes, debout au bout du tunnel, les animistes font l'autre chemin, jusqu'à provoquer un élan d'espoir. Rien n'est perdu, lorsque tout à instinct, les guerriers trollesques, aux comportements, soudain, cloporteurs, procèdent, tels des régulateurs de ces moments de la vie à la mort, et de la mort à la vie, aux échanges. Les faneurs de l'immortalité se retaillent une part. 

The resonance of the death gripping each morsel of his bodies, that asking him to not keep going to dig his tomb, is starting to remember him, in a psychedelic, to visualize the horrific image, that he thinks about the evilness, that it will invoke. Somewhere else, the invokers, the summoners and the associated one to the evilness, that are completely muffled, are excentrizing, in a such way that the ornement, where, the soul of the expiated is finally expelled, is violated by the glarings of the scrutators, are going off rampage, for interactivizing with the world prodigy to the ressurection. Whereas, sudden, the terrible thing advene, the supplementators, prolixed of ordinary times, is muting, in this language of the death, till communiating, and, communicating, between dead ones, such as the dead paracommunicated, through their energies and their heats, till that their light shall be carried upon the crossed world. The verbosy moments are trolled by the trolloc, frolic and canny warriors, a little bit, better in these things dealing with the beyond worlds. The thanatomaniacal habit of these dying, in this entonnoir of the death, is quite annoying for these relifters, that hold, in a semblance of balance, the life. Whereas everything carries to believe that they are all dead, one of the trollesque warriors, a little bit down, in these runs labyrinthized in obstacle,, that  refused  all as this companying guild, the emblem of the infamy, to whom the hussling ones, upon at studies, were, all, heartening down, as pourrishing fruits, bringing to the old times, is the perfect extract of a bataillonnesque upcoming, without precedent, till glimpsing them pourrish, in hell. Firstly, to its jumping pod, the filthy death is avoided by a firm foot, and, from the other, reclaiming, in return of his apathical service, the surrective life, that reserves ironically the infinite war, in these highest places. The whooly trollic warrior, with the clumsy and brutal infinities, that was, in the sticky honeyednesses regurgitated by tumoralizing dioneaes, was forging a foot in hell.  

Whereas he has in his hidden arsenal, eery creatures from the liveliness, the equinox, that is gathering the celestial bodies, as a perfect go-between, till patriating, in a noble way, the territory remaining from this humanity, with bent realities, is, at the disclaimingnesses of the times, the prolifized settlers of this specique and specific life. To the asymetricalness of the irrefragable portals, the enfraged trolloc warriors, horned strangely, odoring, and, dystopians, somewhat, as put on the pathways of the trunks, inhabitated by teeny tiny creatures, that were odoring, in a paranormal way, are the creatures of the death. Put in the bed of the forwarders, standingstill at the end of the tunnel, the animists are doing the path, till provoking a dash of hope. Nothing is lost whilst all for instinct, the trolloc warriors, with sudden gatecrashers behaviors, are proceeding, such as regulators  the exchange. The unblosomers of the immortality are seizin a part.   

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