Eolipyle VII / Eolipyle VII

Un rien met en rogne les guerriers trollesques, extrêmement, ravagés par les instants cataclysmiques. Apitoyés sur leurs sorts, qui vivent, de lueurs d'âmes, qui rêvassent à s'enchâsser à l'intérieur de l'ornement précieux, telle qu'une pierre de charme, effloquent ces émoussifs gemmades, qui livrent une autorité sur leurs territoires extrémisés, et, multiportalisés, comme gruyérifiées, pendant duquel la lave aux vertus bien connues lavomatiques fasse renaturer, les trouilles, ébarbées de barbelettes, et, prolixique, jusqu'à être, quelque peu, barbants comme des druides facétieux, qui mettaient à sac les différents campements bivouaqueux des destructeurs ferailleurs, aux croiseurs épaquebotés, et des dinassauts, en piquet, au-dessus de ces camps concentrationnarisés, et, hostiles, par des entre-passages secrétifs, se réchauffent, encore, malgré leur progrès, avec des stères de bois. Une fois, piédestalisé, le galop des trouilles, aux verges proéminantes, et, cloutées girofleusement de distordus métaux non nobles, sur ce promontoire de la dernière chance, est providentialisé, par des biquettes. Pigetonné, depuis tout ce temps, par les quelques biques, l'un des trouilles dessocle, avec une force inouïe, le socle, qui ferme les travées. Le bruitage des sortes d'engins spatiaux, triphasant, de telle manière à ériger barrière de force, le camp, qu'ils facent, tous, les uns comme les autres, entrent dans ces ondulations intricatives. L'indicatif passage, légendé, devient, avec une rapidité déconcertante, la voie sacrée par laquelle vient toute victoire. L'entêtement des trouilles paie lorsque les délits des empiéteux sont commis. Tel l'arbore le ciel, le triphasage forcé, torsitortillant les piques ferreuses, aux rivets prêts à céder, jusqu'à faire bris de ce temps, est une révélation, sans pareille. Tout tombe à pic, lorsque les cabots trouillots, et, un peu pince, jusqu'à zébrer les trépasseries, où, les zinzinulements des zoaves égrènent toutes sortes de querelles, sémillent, jusqu'à négocier avec leurs rustrifiés ennemies. Aux guets, les leveurs de malédiction, qui semblent être à la hauteur des enjeux, sont confondus, jusqu'à arbitrer des séances de tortures menées par des destructeurs, aux gueules acérées. Le destin des peuples, éclairé par le phare des dogmatiseurs, fait brillance d'eux, qui s'échident à vouloir équivoir. Réels, en brume, les paréidolages portent à gainer la vérité. Très rapidement, les ascendants, toujours battants, en coignant les plateformes enseuillées par une force montante, jusqu'à moléculariser, par des essais tryptiques, des particules de vie, sont, d 'acuité, dans leurs lectures du temps, à cet instant-là de relargage, et, de dé-largage, où, l'un des ascendants anémomorphisés, donne juste, en dosant sa force, la pichenette, qui repoussera un champs de force, vers les montagnes décoiffées. L'argument massue tombe lorsque les codex compilatoires des rudes batailles, des tribus clanniques, contre les forces des ténèbres, viennent à sacrer le boson, la particule de dieu. Alors que se courbent les échines, comme faire la courte échelle à ceux s'élever dans les cieux, les confraternisants avec cette guilde de trouilles, avançant, d'un pas de géant, cadencent leur retour, dans la bataille, dorénavant, dattée. 

L'un des codexateurs : Helàs, la couronnelle du temps, où, la grâce de la demoiselle, sémillante oisellante, se désemparant du parement de pouvoir, dans ces tours, s'étalant, jusque dans le ciel, en pisé, esquinterait les astroscopes, luisant les catalogues d'étoiles, dans l'étui. Une chance que l'orque, le gobelin, et, le bon soient, toujours, rémanants, dans la pêche de lumière stellaire.

A nothing puts to wrath the trolloc warriors, extremely ravaged by the cataclysmical moments. Pitiful about their fates, that are living, of gleams of souls, that are dreaming to enshrine themselves inside a precious ornement, such as a stone of charm, are flocking, these smudged gems, that give an authority about their extremized and multiportalized territory, as holed, during what the lava, with well known lavomatical virtues is doing renature, the trolls, beared with a long bears, and prolixical, till being, somewhat, annoying as these facetious druids, that put in ransack the different camps of the iron cladded destroyers, with wide cruisers, in peak, above the camps, getting concentrationnarized and hostile, by the secretive between passage, are still heating up, in psite of the progresses, with steres of woods. Once, stalked, the stallions of the trolls, with proeminating sticks, covered of disfaulting non noble metal peaks, on this forepod of the last chance, is providentialized by the plotters. Informed, with secrecy, all this time, by the few plotters, one of the trolls is dissocling, with an amazing force, the socle, that close up the ribs. The noise of the kinds of spatial engines, triphazing, in a such way of erecting barrier of force, that they face, all, the ones as the others, are entering into these intricative undulations. The indicative passage, legended, quickly, the path of sacredness, from which comes victory. The stubbornliness of the trolls pays, whilst the infractions of the stumbing ones, are commited. Such the sky arborates, the forced triphazingness, bending down the iron cladded peaks, with screws ready to yield, till breaking this shroud of time, is a revelation, without seed. Everything falls down, whilst the shambling trolls, till zebring the trepassingnesses, where, the zinzinulings of the birds come with all kind of quarrels, are semilling, till negociating with their rough opponents. At the dogwatch barriers, the uplifters of the curse, that are seemingly accepting the challenge, are confounded, till being the arbiters of the seances of torture led by destroyers. with big cages. The fate of the peoples, enlightened by the pahre of the dogmatisers, is shedding light on them, that are plotting to the death, to wish to see equally.  Real in mist, the pareidolingnesses come to pledge the truth. Very rapidly, the ascending ones, always fighteous, in tacking the plateforms thresholded by a rising force, till molecularizing, by tryptical tryouts, particles of life, are, of acuretedness, in their lecturings of the times, at that moment of reberking and lestingness, where, one of the anemomorphized ascending ones is just giving, in dosing his force, the pinchedness, that will repel a forcefield, to the shushed mountains. The incredible argument is revealed, while the compilatory codex  of the rough battles, of the clannish tribes, against the force sof darkness come with the boson, the particle of god. Whereas the backs are bending down, as for doing the short support of the tones rising in the skies, the confratenal ones with this guild of trolls, advancing, of a giant's pace, are rescheduling their return, in the pinched, from the times forth, battle.

One of the codex maidens : Alas, the crown of the time, where, the grace of the brilliant and wealthy lady, without her jewelleries, in these towers, streching, in the sky, like that, would scratch the  astroscopes, glancing the catalogs of stars, in the hole. A chance that the orc, the goblin and the good one are always remaning, in the trolling of stellar light.

Les textes et les images ne sont pas libres de droit. Merci de contacter l'auteur. The texts and images are not free of right. Please cotnact the author.