Le faune et le sylvain II / The fauna and the sylvan elfe II

Les forêts de trésors sont, depuis peu, le sac des fouisseurs, à qui le faune et le sylvain, tripatouillant dans ces trouées fantasmagoriques, au sein desquelles circulent des bibelots, et, des pampilles, sur pattes, accordent leurs temps à cette nouvelle verbosité. Le surnaturel s'invite, par les nochements des ombres. De plain-pied, le faune, moitié donnant sur un daim, et, le sylvain scutellisé, d'un manteau camoufleux, certés d'avoir une mission, haute d'une lecture spéciationnelle, qui ululent, tels des hiboux cavernicoles, marchent, à fond, jusqu'à que les crécellements fassent la rupture avec le calme légendaire des sous-clairières, empuitées de puits inondés de magie débordante, explorent ces caravelles d'épinceries, chippées de ces boyaux souterrains. Soudain, près de l'inviteuse grotte, le faune et le sylvain rapident, comme doué d'une ouïe exceptionnel un mal ruisselleur. Puis, le bruit se gare, en vrac, jusqu'à réellement vraquer, dans ces raccourcis menant nulle part.

Le faune : Alors que les vénéries ne craignent plus des crises clastiques, les clafoutements couvrent, à présent, les crécellements. Où amène ce faisant chemin déconseillé ?

Le sylvain : Bonne pioche ! Il mène vers les piaules, les chambres souterraines de ces nains barjes, et, folichons.  

Le faune : Les fées de cette gaité holistique ne ravinent plus ces lieux méritants d'être visiter.

Le temps passé, dans ces places de la ténèbricité, n'était réfuté oncques fois par les nains, les plus farouches. Les mains boudant sur cette lime magique, au manche sculpté dans le bois le plus précieux, et, lamée de la plus aciérée râpe, des nains traverseurs, qui ronche à cisailler, à l'estoc, les tenaillantes créatures, bizarrement sur leurs chemins, pour qu'ils se ressaisissent, le clan in-estimé des nains, aux barbes longues, balayeuses, et, lacées au bout, barborimant aux moindres surprenantes découvertes, issu d'un supposé ordre cleptocratique, préoccupés par le morcelage de ces terres vampirisées, qui s'attachaient à fondre sur ces créatures tuberculeuses, aux barbastelles, se décueillant, y ose prendre, comme guide, un faune et un sylvain, chancelant jusqu'ici. Si bien qu'ils baragouinent une vérité aspectée, de manière convulsive, comme si les effets psyochosomatiques, en lien d'esprit, avec les fantômes, ne déhantant guère, ces lieux hieratisés, s'accélèrent fortement, les bourricots nains, dans ces ruisselets, ne perdent guère leur fierté. Les lieux comprimés, qui sont censés les déprimer, les réjouissent, lorsqu'ils comprennent qu'ils ont réussi à faire un rapte. Alors que, dans le temps long, les paillettoclasties mystiques naissent, à cause de ces incidents enzymatiques, les soupe aux laits et, quelque peu, grincheux nains, qui, tout à la fois, mettent leur peltée de pierres de pouvoir, en union à ce ciel racueillant, sont ouillants, mais, toujours vivants.

The forests of treasures are, a while ago, the ransack of the chipstering ones, whom the fauna and the sylvan elfe, excavating in these eery soaked holes, within which circulate odd-and-ends, on feet, are according their times to this new verbosity. The supernatural is getting invited, during the nockingnesses of the shadows. Stampeding, the fallowing deer fauna, and, sylvan elfe, scutellized of a camouflaging mantle, certed of having a mission, high of a specimen's lecture, that are hululling, such as cavern's owls, are brought, till that the pitchingnesses do break up with the legendary calmness of the sub edges, founted of founts inundated of outbursting magica, are exploring the treasures, stolen of these underground bowels. Sudden, close to the invitating grotto, the fauna and the sylvan elfe, as talented of a exceptionnal hearing, are glimpsing at simpering evilness. Then, the noise is parking, till really messy, in these shortcuttungnesses leading to nowhere.

The fauna : While the glass wares are not fearing anymore clastical crisis, the clappings are covering the creasingnesses.

The sylvan elfe : Good pick ! It leads toards the undersided chambers of these crazy dwarves.

The fauna : The fairies of this holistical rejoiceness is not ravining these places deserving to be visited.

The time spent, in these places of the darkness, was not once ignored by the dwarves, the roughest. The hand lancinating on this magical sleuthing tool, with the stick, sculpted in the wood, the most precious, and, bladed of the most steel raping edge, of the crossing path dwarves, that hesitate to chisele up, with the squarred edge, the gripping creatures, oddly put in their paths, for that they are strenghtening up, the unestimated dwarves, with long, whimpering, tighted at the end bear, coughing at the slightest discoverings, issuing from a supposed cleptocratical order, preoccupied by the morsellingness of the vampirized lands, that were clinged to melt down these tuberculous creatures, with stripped off crusts,is daring to take, as guide, a fauna and a sylvan elfe, chancelling up to there. While they are arranging with the truth aspected, in link of spirit with the ghosts, still haunting these places, re storngly accelerated, the donkeyed dwarves, in these russels, are not losing their proudness. The compressed places, that are censed to depress them, are rejoicing them, whilst they are understanding that they are succesfully done a rapcioussness. Whereas, in the long time, the mystical pailletoclasties are borning, because of these enzymatical incidents, the  grinchy dwarves, that, all at the same time, are putting their bunches of powerstones, in union to this rewelcoming sky, are suffering, but, still alive.

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