Le faune et le sylvain III / The fauna and the sylvan elfe III

L'ironique sortilège frappe encore lorsque le cheminement et le chemin des nains rétrécissent.  Alors qu'ils zuttent, de manière expéditive, afin de mettre en pagaille tout ce qui vient des trouées fantastiques. En désordre, les pagailleries, les piécettes d'objets antiques, des remonte-pendules, à goussets, et, d'autres mille façons de contempler l'art de la confection d'objets, qui se résume à des simples machins, les rongeurs prennent la relève, dans ces arpents couenniers, jusqu'alors, in-visités. Les releveurs de défis, sylvains, tripant trivialement jusque-là, saligaudent, à nouveau, tandis que la gnomée de rôdants, et, les créatures grognognonesques, clébardisés vu, très souvent avec des clefs, dans la gueule, mâchouillent, avec leurs dents émoussés, et, habiles, capable de démonter n'importe quel objets, serrant un secret comme indésserrable. L'honnissement des gnomiques vient lorsque les secrets, parfaitement hermétisés, sont partagés, jusqu'à vendre un bout de terre, un bout de soi. Quelque part, gaguemardisés, les subisseurs, les souffreteux, et, les miséreux, mais, tous, cleptocrates, qui se savaient protégés près de là, où, les clairières sont actuellement strobolysés, se couvrent d'indifférence, face aux actes parricidaires, jusqu'à que la canule, clampée, perfusant le sol, révèle la sordide affaire. Trop longtemps, la pagaille a eu un goût d'infamie, jusqu'à que les choses changent véritablement. Sur les chemins des trouvères, les ouvreurs de boîtes aux maléfices, comme émoliés, par des choses plus puissantes qu'eux, peignent les terres de grâce, sur lesquelles louvoient des soi-puissants. Soudainement, embassinés par les quelques rongeurs choupettes, pitchounets, et, pipounets, rongeotant, avec leurs dents acérés, les quelques rondins, et, les quelques barreaux, le sylvain, à la main éventeuse, qui mi-effleure la rouquette rempotable, conviable à esquissoyer chemin, à travers l'insulte des terres d'opposition, tout comme le lancier faunistisé par belle nature, le deux cornes, sont aux aguets, jusqu'à faire frémir les poils. En dépit des plantouillades des raccourcies, les deux comparses, qui bougonnaient, embouquent ce lieu, frappé, d'un vent de folie. Néanmoins, le sylvain bourrique, mais, garde ses mots. 

Le sylvain : Serait éventuellement une lune d'attaque ? Les pierres parleuses racontent quelque chose, qui ferait dépiauter une chambre de secrets. Le vent narguilleux ne nous haltera pas.

Le faune, au crâne saggital : Les nasillardisés par les proutements des souches sont formels. La pioche des nains des trappetières, frappés d'idées saugrenues, renâclent jusqu'à faire verboyer attisement la forêt des secrets, devrait être fructueuse. Comment les dépiauteurs ont été passé à la trappe ?  

Le sylvain : Taire les empathiques, c'est le mauvais fond de ces louvoyeurs. Le trimarant doit certainement, donner naissance à une pensée commune. Les bras et les jambes ne tomberont pas, si les faunes ecstatisés, empruntent le chemin. Dans l'étable, où, les cerfs élaphes, les daims, et, les élans, qui sont, le haut du temps, nobles, brise-jettent les cascades, fulminant jusqu'à ébrouetter n'importe quel déceleurs de niche secrête. Bien d'autres comme les vôtres avaient eu cette même idée, penchant à tasser.

The ironical speel strikes again whilst the mind path and the path of the dwarves are narrowing. While they are zutting, in an expeditive way, in order to put in disorder everything that comes from the fantastic soaked holes. In disorder, the odd-and-ends, the pieces of rare objects, clockwise objects, with handsets, ans, other thousand ways to contemplate the art of the confection of objects, that is resumed by simple machines, the rodents are taking up the following strip, in these arpents, up to there, unvisited. The accepting the challenges, sylvan elves, triping, with triviality, up to there, are playing tight, again, whereas the gnomy of the prowlers, and, the muggy creatures, mutting, with keys in the mouth, are chewing up, with their useful teeth, capable of demantling any objects, serrying a secret as ungrippable. The execration of the gnomish, comes while the secrets, perfectly sealed, are shared, till seeling a morsel of land, a morsel of themselves. Somewhat, giggled, the sufferees, the miserable ones but, all cleptocrate, are acknoledging to be more portected close to there, where, the edges are actually strobolysed, are covering themselves of indifference, facing the parricidal acts, up to the clamping thing, is revealing the sordid affair. A long time, the mishap has a taste of misfortune, till that the things are trully changing. On the path of the minstrels, the openers of boxes of malefices, as emoliated, by the things bigger than themselves, are brushing up the land sof grace, on which mighty ones are oogling. Suddenly, quite challenged by the few teeny tiny, smooshy, cute rodents, sleuthing, ith their serried fangs, the few woods, and, the few bars, the sylvan elfe, with the windy hand, that half touching the bunches that can be planted again, invitable to draw path, throughout the slangingness of the lands of opposition, all as the dasher transformed by beautiful nature, the two horns, are on warfoot, till giving goose bumps. In spite of the wrong tips of the shorcutten ones, the both acolytes, that were snagging, are hitting this place, striked by a crazy wind. Nevertheless, the sylvan elfe is mistaking, but, is keeping his words. 

The sylvan elfe : Woult it eventually by a moon of attack ? The spoken stones are narrating something, that would depiaut a romm of secrets. The mocking wind will not halt us. 

The fauna, with saggital skull : The speaking by the nose ones, because of the oustings of the sinkholes are formal. The pick of the dwarves of the traplets, hitten of nuts' ideas, are disputing, till  making chant stirringly the forest of secrets, must be fruitful. How have the excavators been trapped ?

The sylvan elfe : Sout the empathical ones, it is the bad habit of these oogling ones. The boat must certaintly give birth to a common thought. The arms and the legs will not fall, is the faunas take this path. In the pond, where, the red deers, the daims , that are, the highest of their times, noble, are breaking the waves, fulminating till repelling any decealers of secret ponds. Well others like yours had had this same idea, lewdness to be dimmed.

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