La cryosphère I / The cryosphere I

Les pauvres âmes, confesseuses, s'agenouillent lorsque la jonction spirituelle en appelle aux forces, les plus guideuses. Les voix guideuses sont voilées, jusqu'au prochain éclatement, où, rien ne leur sera épargné. Les horizons frémissent, d'ores et déjà, afin d'y augurer les combats finaux. Dans les ombrières ombrellantes, dans lesquels les plus privilégiés se sont couverts, les armées souterraines, de plus en plus pressantes, se massent devant les régions, dans lesquelles tous les éléments de la nature ont été transformés, tels que les effritements des rocs, les sculpturations de la matière, les anomalies de la gravité, les thermogenèses de toute chose, installent une arche de passage, quasi panoptique. Partout, dans ces régions de la mort, les vortex verticaux commencent à faire tout chavirer, dans cette collision des mondes. Sacrilègieusement, le terriblissime Onus rubis, incandescent d'une peur enfouie, dans le monde souterrain, y racueille, au pire moment, la représentante de la nymphe libérée par son épée flamboyante, et, incandescente. Pendant ce temps, de son barda bringuebalant, le renégat confrontateur, Vaillance, y ressort, à la plus surprise, la boussole troquée, dont la pinelle est tordue, est à la commande du temps, lorsque l'aura des deux vénérablissime gardien de l'observatoire de la lumière souligne son acte bémolé. L'imputrescible volonté de combattre les ennemies de cette bastion de lumière dégradée, ravine les creux d'émotion du terrifique, et, égotique Onus rubin, dans cette armure de chair, et de sang dure comme de la pierre incassable, qui y manipule les armées démonifériques. Sous les farfadets rouges, qui font grincer les dents, l'égocentrique Onus rubin, volant l'éclat des pierres scintillographiques, dans ces inframondes, le paradoxe des mondes, y voit les premiers aseptés.

Onus rubin : Ô Damnation, les élus me vont manger dans la main.

L'un des damnées, au visage ravagé : Les crissements des métas brisent le silence de ces troupes haineuses. Les pyrographies y emmiflamment les étendues pétroglyphiques, pour faire diversion.

Un autre damné : Les hérétiques rubicondent, afin d'y parler aux incarnates.  

L'un des généraux de guerre, se déportant vers le lointain : De l'autre côté de ce continent cosmocratisé, par des consortiums généralissimes, voués à l'évasion spatiale, l'arche de soutènement y brasse des semi-élus, sans saveur. 

Onus rubin : L'agent du chaos est responsable de l'anorexie des pouvoirs. Les pouvoirs des mortels sont la source primale de notre pouvoir éternel. L'os revêtant un pouvoir sacrilègieux y est la seule vérité. Le herminette, la burette, le pilum y calissent les fendues de pouvoir, qu'ils hument.

L'un des suppôts : Dans cette fente de temps, où, notre monde s'entr'ouvre, les ostéodermes y sont, en généralité, plus perspicaces. 

The poor souls, confessing, are kneeling down, whilst the spiritual junction calls for the forces, the most guiding. THe guiding voices are veiled, right until the next blowingnesses, where, nothing will spare them. The horizons are already quivering, in order to omen the final combats. In the shadowing roofs, in which the most privilegied ones are covered, the underworldy armies, more and more pressing, are piling up in front of the regions, in which the slashingnesses of the rocks, the sculpturations of the matters, the anomalies of the gravity, the thermogenese of all thing, are getting installed in an ark of passage, quasi panoptical. Everywhere, in thee regions of the death, the vertical vortexes are starting to make topple over,, in this collision of the worlds. Sacrilegiously, the terrible Onus rubin, incandescent of a buried fear, in the underworld, is receiving, at the worst moment, the representative of the nymph liberated by his flaming sword. Between-whiles, from its bag, the bratting confrontating one, Vaillance,  is taking up, at the most surprise, the truncated compass, of which the pining thing is bent down, is under the command of the times, whilst the aura of the both  venerated guardians of the observatory of the light, is underlining the semi act. The imputrescible will of combatting the opponents of this degraded bastion of light, is furrowing the holes of emotion of the terrific and egotical Onus rubis, in this armour of fleshes, and bloods, hard as the rock, that is manipulating the demoniferous armies.. Under the red sprites, that make bite the teeth, the egocentrical one, Onus rubis, stealing the sparkle of the scintilographical stones, in these infraworlds, the paradox of the worlds, is seeing the first asepted ones.

Onus rubis : O damanation, the chosen ones will eat on my hand. 

One of the damned ones, with the ravaged face : The creakingnesses of the metas are breaking the silence of these hatred troops. The pyrographies are half flaming the petroglyphes, for making a divertion.

Another damned ones, : The heretics are redding, in order to talk to the incarnating ones.

One of the generals of the war, deporting the war to the farrest space : In the other side of this continent, cosmocratized by the general consortiums, fated to the spatial evasion, the ark of the sustainingness is breeading the half chosen ones, without flavour.

One of the agents of the evilnesses : The agent of the chaos is responsible of the anorexy of the powers. The powers of the mortals are the primal source of our eternal power. The bone wearing a sacrilegious power is the only truth. The tools are splitting the slots of power, that they smell.

One of the agents : In this window of the times, where, our world is getting opened, the osteodermical ones are, in generality, eaging.

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