La cryosphère II / The cryosphere II

La venue nymphique, tonitruamment acclamés par des troudabouresques, et, des trouvères, provoque, non guère la litanie, mais, est féconde, lorsque, par sa seule présence, la nymphette gynécomastise les quelques souffreteux, emballotés, qui bidonnent, sous l’œil des languisseurs. Le frai de créatures, n'attendant qu'à s'étirer des entrailles, est le moment, où, le vêlage des aurochs se déclenche quasi tout seul, dans les closeries des mondes.

Tandis que, dans les gouffres écarlates, comme jamais, les suppôts du mal mènent incessamment des campagnes de terreur, dont les seuls opposants de cette catatonique sont, évidemment, des commodores, qui ont eu la puce à l'oreille, depuis l'époque de leurs vadrouillages, dans les encaissements des vallées mysticisées. L'hideuse idée, à laquelle l'entente entre les laideronnes créatures est possible, a fait fureter, à travers les karsticités, des raflées obscures, lorsque, soudain, le kelpie, cheval ondin, magnifiquement émergé des kelpes, forêts aquatiques, s'abat, inondeusement, sur les terres ocrales des ogres. Mais, depuis les toundras, où, les forêts souterraines, et, inviolables, sont des bastions naturelles, dans lesquels les commodores, rappliquant prédatamment de toutes parts, jusqu'à laisser traîner, derrière leurs passages, des carcasses, ratiboisent topiquement afin de soigner le retour providentiel des combattants des forêts sacrées, les levées de boucliers, absolument, à couper le souffle, pour vaincre les vents mortifères, sont, enfin, cristallographiés par les oromanciens, tels des souffleurs de la matière. Le providentialisme a, toujours, maintenu les lignes de front, non marginales, sur lesquelles des créatures infusoires, pris, la plupart du temps, dans ces lancées croisières de boules de feu vers les gués bouseleux. Mais, dans tout ceci, il y a une glime d'espoir. Ainsi, toute veine éclatante coulant vers les mondes souterrains a une attention particulière, jusqu'aux dernières, y chopardise les quelques traverseurs pilleurs. Les épures y sont merveillardisées, jusqu'à montrer des anémiés à la place abandonique des mondes.

The nymphical coming, untrucingly acclaimed by the minstrels, is provoking, not yet the litany, but, is fecundating, whilst, by his only presence, the little nymph is, gynecomastizing the few painful ones, that trick, under the eye of the languishing ones. The fray of creatures, in just waitijng to go out, is the moment, where, the leaking of the aurochs is triggered quasi all alone, in the closeries of the worlds. 

Whereas, in the scarlet as never chasms, the agents of the evilnesses are unceasingly leading campaigns of terror, of which the only opponents of this catatonic are commodores, that have been awared of that, since the pipe times of their troopingnesses, in the mystic valleys. The hideous idea at which the connection between the ugly craetures is possible,  has made furrowed, through the karsticalnesses, dark windsweepingnesses, whilst, sudden, the kelpie, nixie's horse, wondrously emerged of the kelpes, the aquatic forests, is inundatingly hitting on ochral lands of the ogres. But, From the toundras, where, the undersided forests, and, ramaining unviolable, are the natural bastions, in which the commodores are flickering topically in order to take times for the providential return of the combattant sof the sacred forests, the raisingnesses of the shields, absolutely, breathtaking, for vanquish the deadly winds, are finally, cristallographized by the oromancians, such as blowers of the matter. The providentialism has always  maintained the lines of front, on which  infusing creatures, caught, the most of the time, in these launchednesses of fire balls towards the muddy ponds. But, in all this, there is a gleam of hope. Thus, all blowing vein simpering towards the undersided worlds has a particular attention, till the last ones, is attracting the attention of the thieve's criss crossers. The slots are wondred. till showing the suffering of anemia to the abandonical place of the worlds.

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