La cryoshpère III / The cryosphere III

Un abandon, autrefois, massif, qui semble être, dorénavant, oublié par les quelques fureteurs, au vu des circonstances opportunes, cède la place à la curiosité. Les prédécesseurs n'avaient guère eu la même chance, lors de ces entrebâillements lugubrissimes des mondes, où, une nappe gazeuse exterminatrice de toute vie pulvérise, sans ménagement, les quelques caquelonneurs malchanceux, avec leurs lyres combattières, jusqu'à périr tragiquement. L'entravation aux portes stellaires est, d'emblée, punie, d'un épuisement de force, jusqu'apparaître anthropophagique. Cependant, une poignée d'héros, dont l'auréolation survient, tout d'un coup, jusqu'à se protéger des méphitisations,s'y voyaient en grand, dans ces grandioses annelages de téléportations, aux portances supraterrestrielles, où, la circumstellarité y fait loi, y rend la pareille. Le confinement du vaisseau de l'universalité est un mystère comme imperçable, à moins que les peuples des commandières, leur procurent cette vitesse de dieu.

Dans l'un des confins de l'univers, où, les élus, de premier ordre, Métal, Ylo, Strax, Anectra, et, Mordicant, comme les cinq doigts d'une main, unissent, au prix de plusieurs mondes, leurs forces contre les indivisibles forces, auxquels ils se confrontent. La science de la victoire, pour être acquise, nécessite des pré-acquis, dont les cabestaneurs bougres, tourniqueurs, et, tourligneurs, ayant une machine, dans la tête, telle une forme de serfage échappant à toute compréhension, et, accoutumés aux limbes cosmiques, préconnaissent. Dans l'atrium similaire, incroyablement, malgré l'austérité, à une commanderie d'étoiles de la vie, qui fait lumière sur les vacuités, où, le triumvirat de l'horreur font cligner, de manière inextensible, des lumières d'ailleurs, dont le spectrographe imitent les viocs de lumières inviolables, pour réjouir les créatures indigènes, jusqu'au final décliquetage, ouvrant, temporairement, les portes stellaires, ne se produit, selon des alignements des mondes. A y louper, de plus près, une lumière d'être vaudrait un monde, qu'il le mérite. Le certes, brutal, mais, convaincant Mordicant, comme un poisson dans l'eau, y fait croire mordicus aux rotariens, une espèce invasive, qu'un monde jumeau leur est offert, pendant que les quatuors se battent comme des dieux, dans l'arène de l'univers. Sans vergogne, les vergiers y réclament de cueillir les fruits de ces mondes, presque, portuarisés. Dans l'ombre, les rotariens alopéciques et, aux sangs anémiques, y injectent, après des promesses dû à des assimilarités troublantes entre êtres d'espèces différentes, malgré un éloignement aussi vaste, que la peine incomblable, une dose anti-somniférique, afin d'empêcher des effets spasmoîdaux, et, transitoires, jusqu'à provoquer des chutes de larmes dans ces mondes, pour lequels ils vivent, et survivent. Les bénéficiaires chiquenaudes, encore hésitants, y se sentent, soudain, portés par cette omnipotente rage de vivre, qui transperce les mondes désalignés, incarnée par celui qui possède cette vision chimérique. Alors qu'au-delà des chimérisations, la combinaison entre le doyen de la nature immortelle, donnant le sens, la croissance, la vie, et, la sculpteur de la matière infinie, balbutie, durant ces moments, où, ils nébulisent, jusqu'à où.

Pendant l'averse stellaire, où, le règne de la calmeté se perdure, face à la calamité du temps, il y a un lac glacier, où, le derbie des chevaux ondins est fabulistique, devant une assistance de cryocréatures. A part, l'arbre de la vie, qui l'appuie, dans ses décisions, se défèle, jusqu'à faire bienveillance de fleurs. Au-delà des bordures galactiques où, les planètes multistellaires sont environnées, une partie émergée de cryosphère fond d'amour.

A massive, in the old past, abandoning, that seems, from the times forth, to be forgotten by the few snagging ones, according to the opportuned circumstances, is yielding the precedence to the curiosity. The predecessors had not the same chance, during these gloomy openings of the worlds, where, an exterminating gazing neaps of all life is pulverizing, without remorse, the few unlucky ponders, with their combateous lyras, till perishing tragically. The entravation to the stellar gates, is, henceforth, punished of a exhaustion of force, till appearing anthopophagical. However, a handful of heros, of which the aureolation overcomes, all of a sudden, till warding off the mephitisations, were getting around, in all greatness, in these amazing ringingnesses of teleportations., with supraterrestrial carringnesses. where, the circumstellarity is done the law, is giving back the same. The confinement of the vessel of the universality is a mystery as unperceivable unless the peoples of the commanderships are procurating for them this godspeed.

In the confines of the universe, where, the chosen ones, of first order, Metal, Ylo, Strax, Anectra, and Mordicant, as the five hands of a hend, are unifying, to the prices of several worlds, their forces against the undivided forces, at which they are getting confronted. The science of the victory, for being acquired, needs pre-acquirednesses, of which the chubby,, and, turning wheel, maneuverers, having a machine, in the head, such as a form of slavishness escaping to all understanding, accustomed to the cosmic limboes, are acknoledging. In the atrium similar, incredibly, in spite of the austerity, to a commandership of stars of the life,  that is shedding light on the voidings, where, the triumvirat of the horror are making tweaking, in an unextensible way, lights from the elsewhere, of which the spectograph imitates the nudes of lights, for rejoycing the indegenous creatures, right until the final declickingness, opening, temporarily, the stellar gates, is happening, according to the alignments of the worlds. To be upon, closely, a light of being is worthy of a world, that he deserves. The  certain, brutal, but, convincing, Mordicant, as a fish in the water, is making believed the rotarians, an invading species, that a twin world is offered to them, whereas the four are battling as gods, in the arena of the universe. Without unceasing, the harvesting ones  are claiming to harvest the fruits of the worlds already harboured. In the shadows, the rotarians, alopecical, and, anemical bloods, are injecting, after promises owing troubling assimilarities between beings of different species, in spite of the distance, as vast, as the uncumbable pain, an anti-somniferous dosis, in order to avoid spasmoidal and transitory effects, till provoking falls of tears in these worlds, for which they liveth, and survive. The smuggling beneficators, yet hesitating, are suddenly feeling to be carried by this omnipotent rage of live, that transpierces the disalignated worlds, incarnated by the one who possess this chimerical vision.  While, through the chimericalnesses, the combiningness between the doyen of the immortal nature, giving the direction, the growingness, and, the the life, and, the sculptor of the matter infinite, is purling, during these moment, where, they are nebulizing up to where.

During this stellar pouringness, wher,e the reign of the calmingness is everlasting, facing the calaminity of the times, there is a glacier lake, where, the derby of nixies' horses is fabulous, in front of an assistance of cryocreatures. Apart, the tree of life is comforting him, in his decisions. is defreezing itself, till showing benevolence of flowers. Beyond the galactical borders, where, the multistellar planets are surrounded, a emerged part of cryosphere is melting of love.

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