La cryosphère IV / The cryosphere IV

Aux pieds des ponts glacés, sur lesquels d'immenses espoirs sont portés aux nues, le combattant mégalomaniaque, à l'armure cryodermique, endossant le fardeau de ces peuples abandonnés à leurs sorts, qui y secoue énergiquement ce pendentif cristallographique, afin de se débarrasser de cette averse, plus qu’interprétable, poucle, avec son épée de glace, aux cristaux cristallophoniques, faisant chanter des notes d'air merveilleuses, jusqu'à lancer un message à destination des dissimulateurs, trop souvent, responsable des sinistroses. Les sinistres énormes sont bien connus de l'unique rescapé. A l'entrail, les larmes pleuvinent, lorsque, d'un souffle cristallin, il réceptionne conciliamment les songe-creux. Le déphasement des larmes restent inélucidable, tant la magie recelée par le cryomancien dépote. Les grelots des ours polaires, à la blancheur immaculée, rendent nantis les quelques compagnons de déroute, des sillages givrés, tant qu'ils tiennent, sur l'ancienne route des dévoreurs des mondes. Le froid fatique les corps abîmés, jusqu'à  que le labrys, à double tranchant, fait une excécution suppliciaire de créatures suppliciées, immergées, dans les alcôves de ces fjords étranges. Soudain, le goret, soumissionné pour trouver une entente avec ces cryocréatures, assis sur un trésor, après fait banquerouter des comptoirs des consortiums, qui est un fumier comme les autres, fausserait presque compagnie à ces suiveurs, à la trace. Tels des traceurs des sillages congèlatiques, le goret laconique, trimbalant  une boîte à mystère, à la bandoulière, et, au magot inconsidérable, y frappe trois coups, dans la glace comme infendable, afin qu'ils réalisent tous, que ces terres incognita malveillent. Sans trop tarder, le goret boustifaillonnant, jusque-là, ravale, avec des déglutinements bruyants, sa salive pour y mettre en garde les quelques lubriques.   

L'un des gorets : Ils décimeront des races entières.

L'un des compagnons de traverse : Les paillages des fagotières pendouillardisantes, les sculptures de glace de l'exubérance, l'épinglerie des sauve qui peut, et, toutes freluqueries, disparaîtreront de la surface. Heureusement, des créatures souterraines y nichent des caches d'armes désubérantes, à présent.

Tout à coup, aux chevets des terres scindées, où, l'espoir est coupé, l'inoublié dans ses pistages, depuis tout ce temps, réapparaît subliminalement, devant les traceurs. Désubéramment, l'esprit n'adhère guère à cette oxymoresque chaleur froide. Des créatures onyxées, qui serpentent les ciels, à l'unison des terres blanchoyantes, le goret, et, les comparses, profiteux de vie, qui y piègent l'attention du combattant solitaire, mettent tout en oeuvre pour cette seule prise en compte doléative.  Dans l'étuvée moiteuse de ces moments glaciaux, qui saisissaient tous les membres inférieures des esquimants face à des aglacisseurs, le combat des esprits fonctionne. L'extrafort souffle du combattant grêve toutes actions inutiles de ces aspirants à une entente. Dans l'esprit impénétrable, à ce moment, du combattant solitaire, dans l'effroi, il désendothélialise des cellules ravagées, grâce à ces hémogrammes, jusqu'à guérir les quelques sollicitateurs.  

At the feet of the icy bridges, on which immense hopes are brought to the firmament, the megalomaniacal combattant, with the cryodermical armour,, seizing the burden of these peoples derelicted to their fates,that is shaking energetically this cristallographical pendant, in order to ,get rid of this downpour, more than interpretable, is wielding his ice sword, with cristallophonical cristals, making chanted notes of wondrous air, till launching a message, destined to dissimulators, too often, responsible of sinistroses. The enormous sinisters are well known by the unique survivor. At the entrance, the teardrops are raining down, whilst, of a cristalline breath, he is receptionning the visionnary thought.  The quiverings of the polar bear, with the immaculated whitiness, are rendering neighed the few companions of messiness, of the frozen furrows, as they hold, on the ancient road of the devorers of the worlds. The cold is fatiguing the damaged bodies, till that the labrys, two edge citting aw is doing an begiing excecution of begging creatures, immersed into the alcoves of these strange fjords. Sudden, the turking one, plodding on with the cause of finding an conciliation with these cryocreatures, besieging a treasure, after having bankrupted some desks of consortiums, that is a snaggy one, as the other, would almost make drifted away these setters, in quest. Such as setters of frozen furrows, the laconical turky one, carrying a box of mystery, with an hanging band, and, with the inconsiderable treasure, is hitting three times in the ice, as unbreakable, in order to make them realize that these incognita lands are malefic. Without lately waiting, the turky one, ousting up to there, is reswallowing his saliva, till putting in guard the few lubrical ones.

One of the turky ones : They will kill entire races.

One of the companions of the criss crossingnesses : The strawingnesses of the vegetalhanging ponds,, the sculptures of the ice of the exuberancy, the pinningnesses of the savvy ones, and, all nonsense things will disappear of the surface. hopefully, undersided creatures hide hides of weapons disuberating up to now.

All of a sudden, at the thresholdingnesses of the splitted lands,, where, the hope is cutten, the extrastrong, unforgiven in his pistings for a while, is subliminally reappearing, in front of the tracing ones. Disuberatingly, the spirit is not showing adhesion to this oxymored cold heat. Onyxed creatures, that are furrowing in the skies,, unifying with the white lands, the turky ones, and, the acolytes, that are trapping the attention of the solitary combattant, are maneuvering for this only request.. In the sphere, out of time, of the glacial moments, that seize all the inferior members of the snowy ones facing the freezing ones. In the spirit of the solitary combattant, the combat of the spirits is functionning.The extrastrong breath of the combattant is trucing all usedul actions of these aspiring to the hearing. In the unpenetrable, at this moment, spirit of solitary combattant, he is disendothelializeing the ravaging cells, thanks to these blood cell counts, till healing the few sollicitating ones.

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