La cryosphère V / The cryosphere V

Les ravages, au sein de leur organisme, sont rapidement estompés par le pouvoir guérissant de l'être supérieur et empathique, à qui on confie des vies. La chaleur de ces êtres inférieurs ne s'abaisse guère, jusqu'à être conservée, dans son jus d'origine. Les habits haillonnés y transportent des germes microbiennes, et, les résidus de la mort. Bien qu'il se destinait, seul, égoïstement à un destin, l'encroisement  de ces valeureux changeurs de destin, lui donne la compréhension pure des choses qu'il est le préservateur de toutes vies. La conscience cosmologique du combattant solitaire gagne, en un temps record, d'autres hautes sphères de conscientisation, lorsque la soupe cosmique semble être la seule qui compte. Toutes ces circumstellarités, tous ces tourbillonnements semblent défaire le néant, dans sa tête. Soudain, l'aura protectrice du solitaire, régulant, de façon admirable, le corps abîmé de ces victimes, procède à l'aseptisation miraculeuse. Dans ce paradoxe quasi temporel, parcouru d'inexplicables épiphénomènes, où, la thermorégulation, l'aseptisation avancée, les expurge de ces matières noires, qui frictionnent, jusqu'à se distendre étrangement, dans l'air épais, et, vicié. Jusqu'à guérir de malconnaissances chélatives, les messagers, dont le corps, en total décrépitude, cachait le message destiné au sauveur, tourné vers l'ailleurs, y ramènent l'égosyntonique, malgré les vices des autruis, vers le bon chemin, ont une heure pour le consacrer. La lumière, donne de la personne, jusqu'à ébrécher, les panaches et les volutes blanchâtres, n'y manque guère, en emphase, de surilluminer les assurectifs. La luminosité solennelle n'agresse guère les yeux, jusqu'à les rendre fidèle à un ciel approbatique. A coups d'ondinement, rappelant des créatures ondines, aux crins de nuages, le concert des esprits atteint, avec une chaleur enveloppante, ces laquais. 

L'un des gorets : Il y a une mort, qu'il faut éloigner, et, une vie, qu'il faut se rapprocher. Celui-là est la vie, qu'ils ont retenue. Les lamantins et les unicornes virbordent, jusqu'à signifier qu'il est temps. 

L'un des soubrats, à peine remis sur pieds : Les agents endocriniens ont, certainement, décimé les vicaires et les gouverneurs. Le moins du monde penserait-il à nous abandonner à notre sort commun ?

Cryos genesys : Une mort que l'espoir pourrait combattre. Dans les amas globulaires, il y a des multileviers actionnables.

L'un des gorets : L'iné d'un talent recherché, à travers les contrées, et, les bastides, vient de frapper un grand coup. Connaîtrez-vous un certain monde dominateur, dans lesquels des élus seraient perdus ?

The ravages, within their organism, are rapidly fading away by the healing power of the superior being, empathical, whom we confides lifes The heat of these inferior beings do not lower down, till being conserved in its original juice. The sullied clothes are tranporting microbian germes, and, the residues of the death. Although he is selfishingly destinated himself, alone, to a fate the criss crossingness of these valliant changers of fate, is giving the pure understanding of the things, that he is the preservator of all lifes. The cosmological consciousness of the solitary combattant is reaching, in a record time, other sphres of conscientisation, whilst the cosmic soup seems to be the only that counts. All these circumstellarities, all these twirlings are seeming to undo the darkness, in his head. Sudden, the protective aura of the solitary one regulating, in an admirable way, the damaged body of these victims, is proceeding to the miraculous aseptisation. In this quasi temporal paradox, crossed by unexplainable epiphenomenons,  where, the thermoregulation, the advanced aseptisation, is expurgating them of these black matters, that are quivering, till strangely distensing, in the thick and vitiated air. Right till healing of chelation, the  messengers, of which the body, in total decrepitude, was hidding the message destined to the saviour, turned towards the elsewhere, are bringing back the egosyntonical one, in spite of the  vices of the others, towards the good pathway,  have a hour for consacring him. The light , in person, is breaching the whites smokes, is not missing, in emphasis, to overilluminate the assurective ones. The solemn luminousness is not agressing the eyes, till rendering them faithful to an approving sky.. By hits of waving, reminding nixies creatures, with cloudy furs, the concert of spirits is reaching, with the shrouding heat, these brats.

One of the turky ones : There is a death, that we need to dodge, and, a life, that we need to get close to. That one is the life, that we have to surround. The ice lands creatures are coasting oddly, till meaning that it is time.

One of the brats, barely healed : The endocrinian agents have, certaintly, decimated the snags, and, the governors. The less of the world would he think to abandon us to our common fate ?

Cryos genesys : A death that the hope could not combat. in the globulary space, there is some  actionnable multileviers.

One of the turky ones : The born of a seeked talent, throughout the lands, and, the strongholds, comes to cause a big stir. Would you know a certain dominating world, in which the chosen ones have been lost ?

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