L'oromancie IV / The oromancy IV

Lug : Les vagues d'ombres, figent, suspendent, et, rament à travers les reliefs monstrueux, aux pieds desquels les mondes du chaos s'offrent, de manière obscure, à eux. L'obscurci semble, encore, plus dévastatrice pour cette élan de lumière, embrassant l'espoir de ces combattants. Rebusent les créatures aliénantes, en leur simple présence fantasmatique, dans l'imaginaire partagé, entre les lieux des ténèbres. 

Dans l'amoncèlement, étranger aux pourtant éclairés observateurs, où amoncèlent, en paradoxaux constructeurs du chaos, des créatures vautrées dans les dilatations vortexales, les prêtes guerriers, qui admonestent, se lancent, cette fois-ci, dans une lutte contre les ténèbres, telles les frondes clairsèment les batailles serrées, entre lesquelles la peur n'a plus sa place, jusqu'à taire le grondement des ombres empaffoufflées, dans ces stices. En milieu hostile, les inrevigorés, par les lumières quasi extinctes, qui vacillent, chançonnent, lorsque les emmènées de vies obscures se guident, à travers l'inertie des corps lumineux. Obstinément, l'énergie de la lumière, en disgrâce soudaine, se condense, afin de protéger leurs écrins, qui faillent garder. L'émotion de la lumière, pourtant inexpulsable de ces êtres feintés, est la lumière de l'aveugle, qui fait force le passage, dans l'un dans l'autre, à travers des agglutineurs. En des circonstances outrageantes, les colères rebelliques, en glânaison, se frappent à cet ordre uni, comme jamais, dans le seul but de percer, et, fendre vers les autres bulles dilatationnelles, dans lesquelles les démunis confabulaient,. Inversement, le paradoxaliste, Lug, qui écoute, avec attention sacrée, avec les péroraisons obscures, investies de le tromper, se met, à son tour venu, sacrant, d'emblée, sa personne, à révoquer les ombres grandiloquentes, tout autour d'eux. 

Lug : Le destin de ces combattants-là est vôtre. Dictez leur, à la croisée des chemins indérapables, leur constance, à la guerre. Nous devons, en absolu, suivre les régoles, dans lesquelles les télékinésies, qui sont, à l'art de déplacement, les plus belles, comme quasi instinctives, afin d'éviter la paraphilie des ex-combattants. Au grand contre-amiral, que les eaux monumentales valent, comme barrière du temps, dessinent les trous de vortex. Sans le passage du temps, nous n'avons aucune chance.

Tout à coup, la voix, qui craque, se fendille, de telle gracieuse manière, la trublionne, Syrinx peut enlever le son des choses. L'un des crieurs, face aux rires sardoniques, y croit, quand rien ne l'autorise,  à cette bonne étoile, jusqu'à glâner, en outrage à ces autorités élémentaires.  

L'un des pré-élus, s'erronnant dans la nuit éternelle : L'astérisme lui permet de continuer, comme bloquant toutes forces maléfiques. Ouvrira-t-il la porte interdimensionnelle, ainsi ?Ainsi soit-il ? Le grand défaiseur des ombres est là. N'ayez pas crainte des folivores anecdotières créatures, qui veillent, à travers les cambrousses, sur le chemin retour.

Lug : The shadowing waves are fixing, suspending, and, paddling through the monstrous reliefs, at the feet of which the worlds of the chaos are offering, in a dark way, to them. The darkening seems again, more devastating, for this dash of light, embracing the hope of these combattants. The alienating, by their own presence, creatures, are regoing, in the imaginary shared, between the places of the darkness.

In the groupingness, weird for the from the times forth lightened watchers, where, are piling the vortexal dilatations, the warmongering priests, that are admonestating, are launching themselves, this times, in a struggle against the darkness, such the forwardingnesses are clearlighting the serried battles, between which the fear has no longer its place, till muffling the rumblingness of the shadows, down in these stices. In hostile middle, the unrevigorated by the quasi extinguished lights, that are vacillating, are sinking over, whilst the bringingness of the dark lifes are guiding themselves, throughout the inertia of the luminous bodies. Stubborningly, the energy of the light, in sudden disgrace, is condensating itself, in order to protect their jews, that are needed to crept out. The emotion of the light, indeed, unexpulsable of these feigned beings, is the light of the deafened one, that is forging the passage into the other, throughout some agglutinating ones. In outraging circumstances, the revolting wrathfulnesses, in proningness, are striking themselves to this unified order, as never ever, in the only goal of piercing, and, splitting towards the other dilationnal bubles, in which the deprived ones have confabulated. Reversingly, the paradoxalist, Lug, who is listening, in sacred attention, the dark uncleared grousings, invested to cheat them, is putting, by his coming turn, sacring, from the times ofrth, his person, to revocating the speaking shadows, all around them. 

Lug : The destiny of those combattants, is ours. Dictating them, at the crossroads of the unweerable paths, their constances, at war. We should, in absolute, follow up the stony ponds, in which the telekinesies, that are, to the art of the moving, the most beautiful, as quasi instinctive, in order to avoid the paraphily of the ex-combattants. To the great counter-admiral, that the momumental waters are worthy, as barriers of time, draw the vortexal holes. Without the passage of the times, we have not chance at all. 

All of a sudden, the voice, that crackles, is lowered, in a such gracious way, the troublemarker, Syrinx can erase the sound of things. One of the screamers, facing the nourrished laughs, is believing, whilst nothing authorizes it, to this good star, till proning, in outraging to these elementary authorities.

One of the pre-chosen ones, mistaking himself, in the dark night. The asterism allows him to keep going, as blocking all malefic forces. Will it open to the interdimensionnal gate ? The great undoer of the shadow is there. Does not fear the anecdocting folivorous creatures, that are veil on the returned pathway.

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