L'oromancie V / The oromancy V

Pendant que les pré-élus, tenus à un espoir, s'éventrent, à la limite du supportable, sur les rochers aiguisés par des gargouilles, les désormais regroupés dévots de la lumière, face aux vovoïdes, qui, à l'improviste, font des extrusions, afin de limiter l'expansion de cette anti-matière, qui s'immisce, dans tous les éléments. Les éléments noirs sont responsables de ces déconfitures telles. Les impermissions des perpétuateurs, qui semblent être maîtres de la situation, malgré les rétices de juste, les, suivre jusqu'au bout, sont sommées, par des porteurs de sceptres, douteux, et, râlants, jusqu'à y déduire, de là, de la fragilité d'actions du moment. Les forces de rébellion s’amenuisent au fur et à mesure des trouées absorptives de toute essence de vie. Cependant, les empaffades sont plus que, dans ce gisoir, des opportunités de capturer cette anti-matière, jusqu'alors, immatérialisée, qui les échappe. A la lampée des éclamés passages dans l'un dans l'autre, les patibules des ombres presque informes, et, atemporelles, s'échouent sur ces ports momentanés de la lumière, ébouriffée de manque de constance, dont l'accosteur des marées d'ombres, offre un dernier baiser, jusqu'à se sacrifier éperdûment, en amour pour ces acolytes. Les objets galvaniques, revêtis d'une force inébranlable de maintenir hors du trouble, fatigués par les agressions agaçamment menées par des vovoïdes entogés d'une toge nécroplasmique, guère n'importe quel étoffe, celle du néant, ne tiennent que grâce cette maîtrise, dans la guerre viscérale, qui vacillonne. Le centrum du néant, comme soudain, s'invite inopinément, dans les pensées insongées par les dévotiens. Dans la courtine, où, se disputent, guère, des vies de temps, les irrésolus à perdre la préservation d'armes sacerdotales, qui inopinent, jusqu'à être le contre-antidote, par lequel est constaté leur perte, les ébouriffeurs, dont les ébouations des ombres s'acharnent, à grande vague, se savent user, par ces assertions. La contre-mesure est, à une et deux salves, de changer du tout au tout. Pendant ce laps de temps, les usagés soubrevestés, dans des passages obnubilants, le long desquels les trous de vortex s'en emparent de ces moments, sous un ordre du temps, comme quoi, hésitatif, s'y barattent, avec des boules conchoïdales, dont les faiseurs de lignées, et, les lignologues, y comprennent la magie infusant, dans ces gargouilles, mi-pierre, mi-créature. Il y a des opportunités, à chaque crise, aussi, chaotique. Dans l'apée fantastico-surnaturelle des combattants, toute la lumière verte y somme les natures étranges de révéler leurs origines. Mis en bienfaisance, le temps bénévolant, qui passe, n'est plus une priorité, pour des spectres, jusqu'à soudain, ils y découvrent, dans cet au-delà, des thylakoïdes, tels que des électrons ruent, dans ces organismes vivants, comme si le monde vert leur apporterait la connaissance.

Whereas the pre-chosen ones, held to an hope, are goring themselves, at the limit of the supportable, on the rocks scattered by the gargoyles, the thereupon regrouped devotees of the light, facing the vovoids, that, with readiness, are doing extrusions, in order to limit the expansion of this anti-matter, that is getting immersed, in all the elements. The black elements are responsible of these deconfitures. The unpermissions of the perpetuating ones, that seem to be masters of the situation, in spite of the skepticalnesses of just following up, right, up to there, are summoned, by the carriers of sceptres, doubtful, and, roughing till deducting, from there, the fragility of actions of the moment. The forces of the rebellion are fading away as the absorptive of all essence of life holes. However, the splashednesses are more than, in this jerking ponds, some opportunities of capturing this anti-matter, right, up to there, not materialized, that escape them. To the lampedness of the claimed passages in the one into the other, the patibulatingnesses of the almost shapeless and atemporal shadows, are crashing down on these ephemerous harbours of the light, riffled of lack of constance, of which the lander of the shadowing big waves, is offering a last kiss, till sacrificing itself, in loving these acolytes. The galvanical objects, fatigued by the agressions agaciously led by the vovoids worn of a clothe, not any dramatic, the one of the centrum, are just only holding to this control, in the visceral war, that is toplling over. The centrum of the emptiness, as sudden, is gettig invited, unopinatingly, in the thoughts unthought by the devotees. In the court, where, lifes of times are getting disputed, the unresolved ones to loss the preservation of sacredotal weapons,, that unopinate, till being the counter-antidote, by which their loss is consated of, the riffling ones, of which the impeelingnesses of the shadows are getting constraint, by big wave, are acknoledging to be used by the assertions. The counter-measure is, at a salve, two salves, of changing everything. During that, the jacketed usaged ones, in the obnubilating passages, long which the holes of vortex are getting seized of these moments, under an order of the times, somewhat, hesitating, are covering themsekves, with conchoidal balls, of which the doers of lines, are understandingthe magic infusing, in these gargoyles, halfstone, half creature. There is an opportunity, at each chatocial crisis. In the fantastico-supernatural holingness of the combattants, all the evergreening light is summoning up the strange natures to reveal up their origins. Putten in benevolant, the benevolent times, that passes, is not anymore a priority, for the spectrums, till sudden, they are discovering, in this beyondness, some thylakoids, such as some electrons are running in these living organisms, as if the green world would brought them the knowledge.

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