Les astérites II / The asterites II

Tout à coup, de la pénombre des cavernes aux émerveillements des lahars, ruisselant de laves ascendante, les loupiots rondinets, éméchés par les effluves remontant jusqu'à leur nez ronds, qui trimbaluchent des camelotes, et, des bric et des brocs, avec sans l'ombre d'inquiétudes, jusque-là, se ricassent contre les rochers non muets, comme reliques vivantes, semblent invariables, face à l'éveil de la force, à travers les écoulements laviques, comme des plaies ouvertes à tout jamais. Parmi toutes les plaies, la plaie, sur laquelle porte leur attention, y croûte des incarnadins, d'un cloaque vicieux, ce qui étoffe leur tissu de la révèlance, d'une laine effilée de moutons sacrés. Les rouspètages de ces loupiots, radinant de ces secrets inchantables, relatifs à des couvaisons de pouvoirs noirs, à travers leurs journées éthériques, tombent dans le creux des trous, quelque peu, inamicaux. C'est alors, qu'à la suite de la péroraison du sorcier du temps, les loupiots, inguéris d'une curiosité macabre, y détournent, avec une hanche de pas, jusqu'à faire piler, grâcieusement, avec une telle sarbacanerie plus que rudimentaire, comme pour les empêcher d'être fournées telles quelles, stridulent, avec une bouche en cul de poule, comme piaffes, au pied de ces reliefs, s'effondrant. C'est alors que l'un des loupiots, tel un eschatologue, zoave.    

L'un des loupiots : La radinerie des troubadours contre les cors magiques des sorceleurs, il n'y a donc pas de demi-vérités, qui tiennent. La fibre héroïque tient, certainement, à cet air entonnant l'hymne des victorieux. La joie de vivre des nôtres ne doit être comme une feulade, sans leurre. Qu'en penseraient-ils ?   

Un autre loupiot, rougaroutant, d'un mentorat oublié : Les primevères, et, les serpolets, en beauté, dans les alentours des tertres jolivets, avaient été écrasé par les pyromantiques, qui signaient, par leurs actes énormes, le retour du feu. Ils rougnottent-là. La belladone y fait des révérences.

L'un des loupiots : Comment accepter de prendre la claque du temps ?

Tout à coup, les loupiots, doués à l'enfilade, qui gigotent, ainsi, avec un bout de ficelle enchantée, les quelques viscères comblant les ventres des souterrains, jusqu'à démurer l'hernie du temps, encaissé entre deux rochers mal-fichés, tandis que la pyromania gagne, jusqu'à que l'un des sorciers du temps y forge l'âme des clans compagnonniques, passant, à tout hasard, par là, à moins qu'il n'y est guère de coïncidence.

L'un des sorciers du temps : Les loupiots hariquent, dans tout ceci. La pissalide, bouillottant jusque-là, à l'intérieur de laquelle le porte-parolat des mondes enferrés, est constituable, comme diable se déchaînant sur terre, connaît des moments vivables, pour l'instant.

All of a sudden, from the twilight of the caverns, to the wondrousness of the lahars, simpering of ascending lavaes, the pot bellied wolfy ones, meshed by the effluviums upspringing till reaching their boxy noses, that are bagging some odd-and-ends, with an ounce of worrinesses, right, up to there, are drolatically banging against the unmuffled rocks, as living relics, are seeming unvariable, facing the awaekning of the force, throught the lavaes' runnings, as opened plagues for the evermore. AMongst all the plagues, the plague, on which glimpse their eyes, is crusting some impish ones, from a vicious cloak, what makes even bigger their tissue of revealingness, from a wolliness threaded of sacred sheeps. The vituperatingnesses of these wolfy ones, greedy of these unchantable secrets linked to coverings of dark powers, throught their etherical journeys, are falling in the holes, somewhat, unamical. It is then that at the following of the peroraison of the witcher of the times, the wolfy ones, unhealed of a macabre curiosity, are deturning, with a humpingness of footsteps, till arresting, with a such rudimentary wooden tools, as for avoiding them to be ovened like that, are stridulating as birdy chantings, at the feet of these reliefs, collapsing themselves. It is then  one fo the wolfy one, such as a eschatologists, is saying out.

One of the wolfy ones : The greediness of the minstrels agaisnt the magical cors of the witchers, there is no half truths, that hold. The heroic fibers holds, certaintly to this air chanting the hymn of the victoring ones. The joy of living of ours must not be a screamingness. without foolingness. What would they think ?

Another wolfy one, like a rugaru, from a mentorship quite forgotten : The flowers, in beauty, in the vicinities of the beautiful earthen ponds, had been crushed down by the pyromantical ones, that signed, by their enormous acts, the return of the fire. They reddisingly the morsels down there. The devilishing flower is doing some salutations.      

One of the wolfy ones : How accept to take the times' flappingnesses ? 

All of a sudden, the wolfy ones, talented to criss-crossing, who is knotting,, with an enthrally thread, the few bowels storing the wombs of the underworlds, till dewalling the pimp of the times, inside both badly fiwed rocks, whereas the pyromania wins over, till that one of the witchers of the times is forging the soul of the companionships, passing there, by all luck, unless that it is not a coincidence.

One of the witchers of the times : The wolfy ones are beaning, in all this. The swimwirling ponds, boiling, right, up to there, inside which the speakership of the hellish worlds, as devils will unleash wraths upon earth, is reckonning livable moment, for the moment.

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