Les astérites III / The asterites III

A l'arrière-monde, dans lequel les godilliolles des godillots ne semblent guère faire variquer les quelques entités maléfiques, depuis l'avachissement des reliefs obscurs, les loupiots y relayent, dans ce, désormais, disputé creuset, les grognons, herminant-là. Sans l'éveil d'un doute, la redouçatrisation de l'atmosphère brûlante fait éflopper, de paroles libres, les quelques viocs toiseleurs vagabonds et pudibonds. A l'enclumage, l'un des loupiots s'affale, sans envoyer, d'emblée, un brûlot, afin d'y réquisitionner les quelques embouillanteurs, embouillantant n 'importe quelle chose, avec des ciguës. 

L'un des loupiots : Les autrefois ont été, davantage, chanceux. Nul entrepasse les portes des entremondes, indécis, qu'on appelle destin. Cette fois-ci, la coqueluche des tanières des loups ne pourra pas fausser compagnie à ces fossoyeurs. La prédestinateur n'avait pas, dans cet enfumoir, lu les lignes de la main.

L'un des grognonnesques créatures : Les haricots, issus de ces terres fertiles, tiennent, dans la poche d'un chanceux. ils sont faits comme des haricots. L'amnésie, et, les errements des affronteurs des canidés montrent que les charmes sont obscurs, ici bas.

L'un des loupiots : Comment les créatures brachiocéphaliques, et, brachycéphaliques, des fourbisseurs regrettés, sont, certainement, parvenus à franchir les portes de l'au-delà ? La craniectomie des terres des golgothes a-t-elle réveillé des soupçons ?

L'un des grognonnesques, grognonnant-là : Le soupçonneur abrite le mensonge, au lieu de tout dévoiler.

Un autre loupiot : Il bouillotte une soupe de vie extraordinaire, à l'intérieur de laquelle les briques de la vie se reconstituent. Méchamment éméchés, les trucidés, les étripés, et, les écartelés ont fini leur courses, plus que regrettables, dans cette pissalide. Le porte-voix des ombres doit là. La voix, qui porte, ainsi, au-delà des barrières de sons. Le soupçon du délice l'estoque, à chaque fois. Les vouivres volent bas, jusqu'à avoir des restes, entre les crocs, ici.

Tout à coup, à la variation de vol d'un vouivre, à l'allure d'une pression, dans le ciel cuivré, les hariqués là-dedans, regrettant la folimancie,s'affligent d'une repoussaille de la part du subisseur sorcier, quelque peu, temporisateur, malgré l'inaffirmée soudaine de pouvoir temporel. 

At the back world, in which the shamblingnesses of the chipstering ones do not seem to make changed the few malefic entities,, since the slopperingness of dark reliefs, the wolfy ones are relaying, in this, henceforth, disputed melted pot, the grunting ones, using tools there. Without the arousing of a doubt, the rebrightedness of the turned crimson skies is making flopped of free speeches, the few vagabond and pudibond glaring ones. At the anchoring, one of the wolfy ones is descending, in not sending a burnt ship, in order to requisition the few boilers, boiling any thing, with jars.

One of the wolfy ones : The other times have been, even more, lucky. Nobody passed through the gates of the betweenworld, undecided, that we call destiny. This time, the light of the pack of wolves will not put an end to these slayers. The predestinating one had not readen, in this smoky pond, the lines of the hand. 

The grousing creatures : The beans issuing from the fertile lands, are well pocketed in the pocket of a lucky one. The amnesy and, the wanderingnesses of the confrontating ones of the canins show that the charms are dark, down there. 

One of the wolfy ones : How the brachiocephalous and brachycephalous creatures, some regretful equiping ones, have, certaintly, passed through the beyond gates ? Has the craniectomy of the lands of the golgothes revealed some suspicions ?

One of the grunting ones : The suspicious one is sheltering the lies, instead of revealing it all.

Another wolfy one : It boils an extraordinary soup  of life, inside which the bricks of life are getting reconstituted. Badly fainted, the trucidated ones, the gored ones, have finished their courses, in this swimwhirling pond, more than regrettable. The voice carrier of the shadows, must be there. The voice, that thereupon, is projected, beyond the barriers of sounds. The suspicion of delice is squeezing him, each times. The wurm are yumming, down there.

All of a sudden, at the variation of the flight of a wurm, looking alike a pression, in the turned crimson sky, the beaned, down there, regretting the folimancy, are getting affliged of a repellingness from the suffering witcher, somewhat, temporisating ones, in spite the sudden unaffirmedness of temporal power.

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