Les astérites IV / The asterites IV

Les élytres épouvantables assaillent appuyamment les sols imbibés de l'aura de ces êtres supérieurs. L'embrasement des abhorrantes créatures concupiscentes rompt, un tantinet, la chaîne d'espoir, formée par les traverseurs. L'intrépide moment, au cours duquel la silhouette sveltissime s'estompe, au fur et à mesure qu'ils afflictaient, depuis tout ce temps, sans jamais faire l'approche d'un éclaircissement, jusque-là, est réservé à l'oubli, comme l'affligent les toiseleurs, si bien qu'ils planchent, tout en planquant des artéfacts magiciels, aux émissions révélatrices, qui jalousent les yeux des chaloupeurs, dans la pénombre, ces embosselés, tout à coup, moindres reliefs, qui rouspètent, à cause des poussées infernales, afin d'y tutoyer les entités maléfiques. Les loupiots, non fiers d'eux, s'assoient, en guingois, sur ces pentes pentadragonniques, sur lesquelles étaient magnifiés les concrétions taillées, empiquetées à signer la mort de ces vouivres fouillades. Alors que tout était bazardé par ces quelques sacrificateurs, sacrifiant, même, des espérances, une aperçue de cet avenir, non promis, malgré les prières, y linoléait une densité surfacique plate, comme si l'étrange les embarquait, encore, ailleurs, bien qu'ils ne sont guère déçus. Les disappointrices créatures niaquillent, lorsque des enquillées, décidément ensordidées, baltringueurs, limeraient les crocs acérants, jusqu'à déchiquer ces recueils folimantiques. Il n'y a qu'un chemin qui ne déçoit, celle de leurs coeurs. La pierre de pouvoir brûle, en eux, comme soleil brille dans le ciel. Cependant, une entité indivisible, qui semble être l'avenir de ces clans compagnonniques, aux ruages plus que distendants vers les ailleurs, tels qu'ils perdent un précieux temps, à vouloir conserver cette unité d'apparence, les surpasse. Malgré cela, ils résument, avec des feuilles végétaliques, veinées de lumières,  les chemins d'opportunités. Après quelques temps, alors que la mémoire du sorcier est, encore, inaltérée, dans l'esprit de ces ressouveneurs, à la faveur du temps passés, de manière éveillée, et, en sachant qu'aucune concrétisation n'a eu d'avenue, pour les non impressionnés, pour un rien, les embottelés dans ces boues, limonent, à l'impromptue, ces quelques enrochardisés, comme si le vivotement des esprit, se mariant à la pierre, se produisait-là, se rapportant, également, à ces fagoteurs, qui filamentent ces nids blanchâtrisés, et, charpentent ces barbacanes, pour orchestrer la vie chantée, sont éventés jusqu'à s'oublier, dans cette stupérfiante fabrique d'une armée de pierres vivantes. 

The scaring elytrums are pushingly attacking the soils imbibated of the aura of these superior beings. The blazingness of the abhorrent concuspiscent creatures is breaking, a little bit, the chain of hope, formed by the criss-crossing ones. The sly moment, during which the slendering silhouette is fading away, as they have afflicted, for a while ago, without never doing the approach of an brightedness, right, up to there, is reserved to the oblivion, as the teased ones are vituperating it, although they are soiling, with kind of cover, all in hiding magic artefacts, with the revealing emissions, that jealouse the eyes of the turning around ones, in the twilight, these bumped, all of a sudden, slight reliefs, that scream out, because of the infernal pushes, in order to land up in the middle of the malefic entities. The wolfy ones, not pride of them, are sieging, in a neglicted way, on these pentadragonnical slopes, on which were magnified the concretions, peaked for signing up the death of these seeking wurms. While everything is bazarded by these few sacrificating ones, sacrificing, even, the hopes, a eyecatch of this future, without promise, in spite of the prayers, is covering a flattened surfacical density, as if the oddities was embarking them, again, elsewhere, although they are not dissapointed. The disappointing creatures are yerking, whilst the altogether, decidly stupidified, shamblers, would erase from the earyhen world, the scattering fangs, till splitting these folimantical booklets. There is a path that does not disappoint, the one of their hearts. The powerstone is burning, in them, as sun shines in the sky. However, an undivisible entity, that seems to upcome for these compagnonnical clans, with ongoingss, more than distensing, towards the elsewhere, such as they are losing a precious times, to wish to keep out this unity of appearance, is surpassing. In spite that, they are resuming, with foliages, veined with lights, the paths of opportunities.  After a while, while the souvenir of the witch is unalterated, in the mind of these remembering ones, at the favour of the past times, in a awakened way, and, in knowing that none concretization had not had adveningness, for the not impressed by a nothing, the bottled ones, in these muds, are clumingly mudding these  few looking alike rocks, as if the marrying of the spirit with the stones, was producing there, getting assimilated, also, to these green builders, that are building whities' nests, and, these wooden structures, for orchestratign the chanted life, are windswept till forgetting themselves, in this fabric of an living stones' army of the stupefaction.

Les textes et les images ne sont pas libres de droit. Merci de contacter l'aureur. The texts and images are not free of right. Please contact the author.